1. Une douche très chaude


    Datte: 27/06/2020, Catégories: fh, hplusag, jeunes, douche, volupté, facial, Oral nopéné, init,

    ... douche c’est tout. J’en ai assez pris dans la cuisine. Et puis, tu te rends compte, si ma sœur se réveillait…— Tu crois que dans l’état où elle est elle va se réveiller avant demain après-midi ? lui répondis-je en me mettant à rire.— On ne sait jamais, me répliqua-t-elle.— T’es vraiment pas bien, toi ! En tout cas tu ne peux pas me dire que t’en as pas besoin ! Je continuai à lui répéter de venir prendre une douche sans plus trop y croire jusqu’à ce qu’elle me dise : — Bon d’accord, je viens. Là je faillis avoir un arrêt cardiaque. Elle venait d’accepter de prendre une douche avec moi… Aussitôt les images se bousculèrent dans ma tête et j’imaginai déjà Corinne, nue, à mes côtés. Je ne tardai pas à avoir une bonne érection, rien qu’en y pensant. Je tournais le dos à l’entrée de la douche pour qu’elle ne s’en aperçoive pas. — Alors qu’est ce que tu fais ? lui demandai-je.— Ne t’inquiète pas, j’arrive, juste quelques secondes. Mais je te préviens, j’éteindrai la lumière. Ne voulant pas trop la taquiner à cause de cette dernière phrase, je lui lançai : — Pas de problème ! Je me disais que, pour elle, le fait de venir dans cette douche avec moi relevait déjà de l’exploit, moi qui étais de douze ans son aîné et elle qui s’apprêtait sûrement à vivre la première expérience coquine de sa vie… Comme l’eau coulait, je ne pouvais pas entendre si Corinne était en train de se déshabiller ou non. Ce n’est que lorsque la lumière s’éteignit que j’y crus vraiment. Mes battements de cœur ...
    ... s’accéléraient et, faisant mine de rien, je continuais à faire semblant de me laver. Peu à peu mes yeux s’habituèrent à la lumière et j’aperçus une silhouette à mes côtés. Comme on était en plein été la lumière extérieure éclairait assez bien la salle de bains. Très vite je commençai à distinguer ce corps de jeune fille, nu, à mes côtés. Je n’en pouvais plus, j’avais une énorme érection. Je commençais à distinguer son visage d’ange, ses seins, son ventre plat. Dommage… j’avais du mal à distinguer tout ce qui était plus bas. Timidement, je lui dis : — Approche-toi, car là t’auras pas d’eau pour te laver… Elle avança et, lors de son mouvement, sa hanche ou ses fesses effleurèrent mon membre qui est devint encore plus dur. Mon Dieu, quel supplice, et quel délice en même temps ! Et puis, sans me répondre, elle vint se placer devant moi entre le robinet de douche et moi, mais resta le dos tourné. Prenant mon courage à deux mains, j’attrapai le savon et me mis à lui laver le dos. Elle eut d’abord un geste de surprise, mais elle ne se défendit pas. Lentement, je lui passai le savon sur le dos, remontant jusqu’à ses épaules, d’un côté à l’autre. Puis je descendis à nouveau vers le bas, lentement. Arrivé au creux du dos, je remontai par de lents mouvements vers les épaules. Corinne avait un corps magnifique, je ne pouvais m’empêcher de fixer ses fesses, fermes et bien rebondies. Après plusieurs passages jusqu’au creux du dos, j’osai descendre plus bas, je commençai à lui passer du savon ...
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