1. De Papillon De Nuit à soumise (7)


    Datte: 27/06/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Une fois rentrées, prise d’un désir brûlant et encore sous le coup de notre expérience dans la voiture, ma Maîtresse se jeta sur moi comme un fauve sur sa proie et m’embrassa passionnément. Durant notre échange de baisers torrides, elle m’emmena dans sa chambre et me déshabilla doucement, jouant avec mon envie qui était revenue au galop. Elle m’allongea sur le lit. J’étais haletante, excitée et en sueur, lorsqu’elle se pencha vers moi. Nos regards se croisèrent avec la même intensité que tout à l’heure, et elle me caressa tendrement la joue. Sa main était chaleureuse, douce ; elle me procurait un bien-être indescriptible. Prise d’euphorie, j’ouvris la bouche en la regardant tendrement dans les yeux. — Chloé, soufflai-je, je vous a... — Chhhhhht ! m’interrompit-elle en posant son index sur ma bouche. Surtout ne finis jamais cette phrase, tu as compris ? murmura-t-elle en me regardant dans les yeux doucement, mais avec fermeté. Je hochai de la tête, et nous nous embrassâmes de nouveau. Mes cuisses l’enserraient. Elle sortit de sa table de nuit une paire de menottes en velours et m’attacha aux barreaux de son lit. Cette sensation de soumission me fit dégouliner comme rarement. Sa bouche descendit pour me suçoter les tétons, jouer avec eux de sa langue, les agaçant délicieusement sous mes gémissements étouffés. Elle me mordillait tout en regardant attentivement chacune de mes réactions, puis elle descendit jusqu’à ce qu’elle arrive à ma petite chatte gluante de désir. Ses index ...
    ... écartèrent mes lèvres, et elle lécha doucement mon clito. Je sursautai à ce contact, laissant échapper un cri plaintif. — Je vais me régaler avec ta petite perle d’Asie... Elle plongea son visage entre mes cuisses écartées pour me dévorer littéralement. Mes hanches remuaient, je gémissais, criais, me plaignais, mais qu’est-ce que c’était bon ! Elle lapait chaque goutte de mon miel, recouvrant de toute sa langue mon intimité. J’allais jouir ; je sentais un orgasme terrible arriver. Mon ventre était devenu brûlant, j’étais toute rouge, j’avais l’impression que je pouvais perdre connaissance à chaque instant. Ma Maîtresse se révéla être une redoutable mangeuse de chatte, et elle jouait avec la mienne ; ça devenait un délicieux supplice. Je finis par me raidir ; tout mon corps se contracta, et je jouis voluptueusement dans la bouche de ma Maîtresse qui se régala de son travail. Elle me délivra tout en m’embrassant délicatement ; sa bouche sentait fortement mon parfum. Je voulus lui rendre la pareille, lui procurer de doux orgasmes, mais elle fit un geste qui me fit comprendre que je ne devais pas insister. Elle me prit dans ses bras afin que je récupère doucement. — Maîtresse, je tiens à vous remercier pour tout, du fond du cœur. La tenue, la journée que nous avons passée ensemble, ce qu’il s’est passé dans la voiture, et ce que vous m’avez fait. — Pas de quoi, ma chienne : j’y ai moi aussi pris du plaisir. — Je sais ce que vous préparez pour mes 18 ans, Maîtresse. — Ah oui... Et ...
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