1. L'école de la soumission


    Datte: 28/06/2020, Catégories: fh, jeunes, copains, campagne, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, f,

    ... marchant, je sentais que j’étais les fesses et le sexe nus, à sa disposition…. Et il ne s’en privait pas, car en marchant, il glissait souvent sa main droite sous ma robe, et me caressait tantôt le minou, tantôt le derrière, pénétrant même à un moment mon petit cul avec un doigt. — Continue à avancer comme ça. Tu le sens, mon doigt dans ton p’tit cul ?— Oui… Je le sens, dis-je en soupirant.— Et tu aimes ?— Oui… j’aime.— Dis-moi que tu aimes mon gros doigt dans ton tout petit cul…— Oui, j’aime ton gros doigt dans mon tout petit cul…— Dis-moi que tu es ma petite cochonne à moi…— Oui, je suis ta petite cochonne à toi.— Dis-moi que tu feras tout ce que je te commanderai, même les choses les plus sales, les plus vicieuses…— Oui, je ferai tout, même les choses les plus vicieuses. A chaque réponse, il me semblait plus excité, et il me « récompensait » en m’enfonçant un doigt, puis deux, puis trois, dans la chatte… et je devais continuer à marcher. Il était très excité, vraiment, il avait même sorti sa queue et marchait lui aussi dans le chemin, le sexe à l’air libre… Nous dûmes nous arrêter dans un petit recoin, et là, il me demanda : — Mets-toi à genoux, et suce-moi cette grosse bite ! C’était vraiment la première fois que je faisais ça à un garçon, mais je trouvai tout de suite la façon de faire, et il ne s’en plaignit pas. Je l’entendais au-dessus de moi gémir, et puis tout à coup, il me gicla tout dans la bouche ! Je fus très surprise, et recrachai vivement le sperme sur ...
    ... l’herbe. — Gardes-en dans la bouche, m’ordonna-t-il. J’avais encore un peu de sperme en effet dans la bouche, et malgré le goût amer qui me faisait un peu « lever le cœur », je m’efforçai de le garder. — Maintenant, avale-le ! J’hésitai et il dut répéter son ordre : — Avale, je te dis ! Je le fis. Ça n’avait pas si mauvais goût que ça, finalement. — Maintenant, relève-toi et vient m’embrasser. Je l’embrassai à pleine bouche, et je sentais qu’il recherchait avec sa langue les traces de son sperme dans ma bouche. Sa queue recommençait à grossir et à se redresser. Il m’enfonçait à nouveau un doigt dans le cul. Sans doute pensa-t-il qu’il avait eu son lot de plaisir ce jour-là, et il me dit : — La prochaine fois, c’est ma bite que je t’enfoncerai dans le cul… La perspective m’effraya quelque peu et il le vit. — Ne t’inquiètes pas, tu n’auras pas mal… J’irai doucement. Dis-moi que tu offriras ton p’tit cul à ma grosse bite.— Oui, j’offrirai mon p’tit cul à ta grosse bite. Le soir, en m’endormant, chez ma Mémé, alors que Nicolas était déjà reparti vers la ville, je mis longtemps à m’endormir… En repensant à tous les petits jeux coquins auxquels il m’avait soumise l’après-midi, j’étais encore très excitée, et cette fois, je me masturbai carrément, d’abord le clitoris, très longtemps, puis je sentis le besoin d’être à nouveau pénétrée, et je le fis de deux doigts. Et pour la première fois sans doute de ma vie, la jouissance m’emporta. Une jouissance intense, qui me fit perdre presque ...