1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1136)


    Datte: 27/06/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Gladys au Château – (suite) - … dans un long et luxueux couloir à l’épaisse moquette de couleur bordeaux… Doucement, nous arrivâmes à la salle à manger. Plusieurs esclaves étaient déjà occupés à mettre en place le repas. Monsieur le Marquis s’avança majestueusement avec un pas noble et d’une grande élégance et alla s’asseoir au bout de la table, moi je le suivis toujours au bout de la corde. Une fois assis, il se tourna vers moi. Je m’étais mis à genou, par terre, à côté de lui, la tête baissée et les mains sur les genoux. - C’est bien chienne, tu vois quand tu veux... Le Noble me tapota la tête comme on le ferait à un chien qui est sage, puis son attention se reporta sur le repas qu’une esclave noire entièrement dénudée et d’une superbe silhouette plastique aux seins magnifiques et aux tétons annelés venait de déposer devant lui. Il mangea calmement, d’abord une belle entrée avec du melon, quelques morceaux de tomate et de concombre. L’assiette avait l’air délicieuse, et Monsieur le Marquis m’accorda un morceau de chaque aliment qu’il me donna à becqueter du bout des doigts. Je mangeais chacun des morceaux, un sentiment étrange en moi. C’était bon et doux, j’avais vraiment l’impression d’être comme un animal de compagnie à qui on accorde un peu de nourriture. C’était bizarre comme sensation car cela me rendait honteuse, mais d’une certaine manière cela m’excitait beaucoup d’être traitée comme une chienne et mon bas-ventre réagissait par une douce et agréable montée de ...
    ... plaisir intérieur… Ce sentiment me troublait, j’avais les joues rouges, les yeux baissés et je sentais mes sécrétions sur le haut de mes cuisses. D’autres plats furent apportés et Monsieur le Marquis me les fit gouter à chaque fois. Je mangeais à chaque fois, silencieuse. Marie La cuisinière, que j’avais vue à mon arrivée, vint rejoindre un moment le Noble à table. Ils discutèrent un moment ensemble pendant que le Marquis prenait un dessert à l’odeur de chocolat. Je n’osai lever les yeux pour regarder ce qu’était le dessert à la douce odeur, car j’étais trop honteuse de moi-même d’être dans cette position sans me rebeller et de surcroit, d’en apprécier une certaine excitation. De plus, j’avais vu le regard supérieur et rabaissant de la cuisinière à son entrée en me voyant ainsi. Cela n’avait fait que me rendre plus rouge et augmenter mon trouble. J’avais instinctivement baissé encore plus la tête. J’écoutais distraitement la conversation, plongé dans mes pensées de honte lorsque le châtelain posa sa main sur ma tête. - Alors ma chère Marie, tu ne trouves pas qu’elle est plus douce et mignonne comme ceci ? dit-il, se doutant de mon trouble et s’en amusant. - Je trouve que cette place lui va mieux que sa fière et assurant allure, lui répondit Marie. Et puis, elle a l’air déjà bien docile, se moqua-t-elle. Cela fit sourire Monsieur le Marquis. Il indiqua ensuite la fin de son repas et qu’il prendrait une tisane dans la bibliothèque. Il se leva et tira sur la corde. - Allez, viens ...
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