1. Une Maîtresse-femme


    Datte: 28/06/2020, Catégories: fh, inconnu, gros(ses), grosseins, poilu(e)s, hsoumis, fdomine, odeurs, BDSM / Fétichisme Oral préservati, pénétratio, uro, délire,

    Parti faire un tour sur la brocante d’une ville voisine, je m’étais arrêté un instant sur le banc d’un parc, question de parcourir le livre ancien que je venais d’acheter. Levant un instant les yeux de mon livre, j’avais remarqué une femme assise juste en face de moi, sur un autre banc, à peu de distance, de l’autre côté de l’allée. C’était une brune d’une cinquantaine d’années, assez forte, peut-être pas loin de 90 kg pour 1,60 m, avec de fortes cuisses, un ventre rebondi, une poitrine volumineuse et un début de double menton, les cheveux coupés au carré. Elle était habillée d’un chemisier blanc un peu transparent, au travers duquel on devinait un fort soutien-gorge à profonds bonnets. Elle portait un pantalon noir assez fin et moulant. Comme c’est souvent le cas pour ce genre de femmes gênées par leur embonpoint, elle tenait ses jambes assez écartées, ce qui laissait deviner une motte qui saillait nettement sous le tissu trop serré et qui lui rentrait à l’intérieur des cuisses. Le tissu était tellement tendu à cet endroit qu’on devinait même au milieu de l’entrejambe la séparation des grandes lèvres qui moulaient le fin tissu. Elle avait des fesses très volumineuses et très rebondies. Sans que je sache trop pourquoi, cette forte femme me plaisait. Je la regardai un moment puis je pris une décision : il fallait que j’essaye… Je me suis donc assis à côté d’elle, mais à l’autre bout du banc. Sans qu’elle le montre vraiment, je perçus qu’elle s’interrogeait sur ma démarche, ...
    ... car elle regarda négligemment de mon côté en faisant mine de regarder les passants. Je fis semblant d’aller regarder du même côté, puis, profitant de ce qu’une autre femme s’était assise à ma place, je revins m’asseoir à côté d’elle, mais cette fois si près que ma cuisse droite la touchait presque. J’espérais que ce contact allait la stimuler. Ayant repris la lecture de mon livre, je m’arrangeais pour que de temps à autre ma cuisse colle négligemment contre la sienne, que mon bras s’appuie contre son sein. Elle n’eut pas l’air de s’en offusquer, ou en tout cas ne chercha pas à se soustraire à mes contacts furtifs, laissant à penser qu’elle était disponible, prête à tout peut-être ? La situation aurait pu s’éterniser car je n’osais pas aller plus loin, malgré l’envie d’elle qui commençait à me monter au ventre. Heureusement l’autre femme finit par s’en aller, me laissant plus libre de mes mouvements. Le parc s’était presque vidé de ses passants, nous étions pratiquement seuls… Je me suis alors hasardé à poser ma main sur sa grosse cuisse, sans réaction de sa part, puis à lui caresser le ventre de plus en plus bas, en cherchant à atteindre le niveau qui apparaissait le plus proéminent entre ses grosses cuisses. Elle était consentante puisqu’elle écarta d’abord un peu, puis de plus en plus franchement les cuisses, en faisant saillir à travers l’étoffe de son pantalon une motte vraiment très proéminente. Elle avait fermé les yeux et se laissait faire, complètement docile à mes ...
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