L'anniversaire de Gaëlle
Datte: 29/06/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
jeunes,
couleurs,
couple,
extraoffre,
cocus,
Collègues / Travail
rasage,
entreseins,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
... emprisonnées d’aussi belles bestioles était inhumain. Je me suis assise sur le bord du lit, tirai les garçons vers moi et, détachant leurs ceintures, libérai leurs queues qui déjà se dressaient avec fierté. Comme elles étaient belles ! rien qu’à les regarder, je sentais mon sexe s’entrouvrir et suinter de mouille. — Belles pièces, messieurs ! Moi qui adore les sucettes au chocolat, je sens que je vais me régaler !— Oui, emmène-nous au fond de ta gorge, elles vont encore durcir ! J’en pris une dans chaque main. Elles se ressemblaient beaucoup, mais celle de Mourad me semblait légèrement plus longue et plus fine. En tout cas, je n’avais encore jamais pris aussi gros, et deux comme ça d’un coup, j’étais aux anges. Tout en massant délicatement la bitte de Mourad, j’approchais ma bouche du gland d’Abdel, et, tendrement, l’effleurais de mes lèvres. Il tressaillit légèrement, tandis que ma langue parcourait ses bourses, puis remontait le long de sa verge. Puis, après lui avoir fait un beau sourire, je l’introduisis dans ma bouche, en en palpant chaque centimètre. C’était tellement bon que le gland a pu toucher le fond de ma gorge sans que j’aie de réflexe de nausée. D’abord doucement, puis plus rapidement, je lui administrais une fellation qu’il devait apprécier, car je sentais son sexe gonfler sous ma langue. — Oh qu’elle est bonne ! Elle suce comme une vraie putain ! Je passais à son frère, qui me fit les mêmes éloges, puis rapidement de l’un à l’autre, alternant les gorges ...
... profondes et les branlettes rapides. Je me risquai même à mordiller délicatement, les veines gonflaient sous ma langue, c’était délicieux ! Je sentais que l’excitation montait, que je leur faisais naître un désir incontrôlable, et cela me rendait fière. Mais pour l’instant, je voulais surtout me laisser faire, m’abandonner à eux. Alors que je m’occupais de la bitte de son frère, Abdel sortit mes seins de ma guêpière et les couvrit de baisers. Tout en gardant Mourad en bouche, je m’allongeai sur le dos, en me concentrant sur les lèvres d’Abdel qui descendaient lentement le long de mon corps. Mes cuisses s’ouvrirent, et il écarta délicatement le bas de ma guêpière pour découvrir ma vulve. La peau lisse de mon pubis l’enchanta. — Je constate qu’on s’est bien rasé le minou, c’est bien, obéis à Abdel, et il voudra bien te fournir ta dose de foutre ! Je laissai un moment la verge de Mourad, pour profiter de cet instant. Abdel embrassa tendrement l’entrée de mon vagin, et remonta doucement sa langue pour sortir mon clitoris, qu’il mordilla délicatement. La chaleur de sa langue remonta le long de mon corps et m’ouvrit les portes du paradis. Je me cambrai et poussai un petit gémissement alors qu’il glissait deux doigts dans ma grotte, tout en léchant mon bouton avec avidité. — Oui, Abdel, prends-moi, prends ma petite chatte ! J’ai envie que tu me baises, maintenant !— Mais tu es toute mouillée ma belle ! Regarde, frérot, le jus coule jusqu’à son cul ! Et t’en crèves d’envie, hein, de nos ...