1. Des vacances bouillantes (2)


    Datte: 04/10/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    Après une averse de grêle et des dégâts considérables sur nos tentes, nous nous retrouvons ma famille et moi dans cette ferme. Ce soir, je viens d’assister à ma première scène sexuelle entre deux femmes, enfin, je n’y ai vu que quelques détails qui m’ont totalement émoustillé. Malheureusement, alors que j’avais la main sur ma verge, ma cousine Louise m’a pris en flagrant délit. Je suis à présent dans la chambre qui nous a été proposée et je viens de lui avouer que j’étais puceau. Elle a dans un premier temps souri à cet aveu, puis s’est montrée plus conciliante. Après tout, n’ayant pas de sœur, nous nous confions des secrets, mais ces derniers n’avaient jamais passé le cap de la sexualité. Je me retrouve désormais à côté d’elle, toujours avec une demi-érection. Entre le partage de plaisir charnel que se sont offert Karine, ma belle-mère et Catherine la femme du guide, je n’arrive pas à me calmer. De plus, Louise, qui est en sous-vêtement à côté de moi, n’arrange pas vraiment les choses. Je propose à cette dernière d’éteindre la lumière de chevet afin de dormir, après toutes ces aventures, il y a vraiment besoin de repos. Je garde néanmoins les yeux ouverts. Au bout de quelques instants, j’entends les premiers ronflements de ma cousine. Je vais enfin pouvoir soulager le trop-plein d’émotion dû à la scène que j’ai vue dans la pièce de vie. Je porte ma main dans mon caleçon et commence à me masturber doucement afin de ne pas réveiller Louise. Mais après réflexion, avec quoi je ...
    ... vais bien pouvoir m’essuyer, je n’ai pas de mouchoirs, ni autres. Je suis dans la panade. Je ne peux pas aller aux toilettes, car si je me lève, je vais éveiller des soupçons, du coup, je ne sais pas comment faire. Il y a bien ce bout de tissu sur la table de chevet. Je sais que ce n’est pas propre, mais je ne peux pas retenir mes pulsions. Dans le calme le plus total, je saisis le tissu que je pose à ma droite, puis reprends ma masturbation. Les images érotiques qui défilent dans mon esprit sont partagées. Mais très vite, je pense à la poitrine opulente de Karine. Je sens déjà que le bout de mon gland s’humidifie. L’excitation est à son comble. Mes jambes et mon bassin se contractent, je sens que le liquide monte le long de ma verge, je saisis le tissu, puis me répands dedans comme un sagouin. Je m’essuie tant bien que mal, le repose à côté sur le parquet, puis décide tout de même de dormir. Le lendemain, matin, il est aux alentours de neuf heures lorsque l’odeur de café se répand dans la maison. Cela me réveille, puis je retrouve la famille autour de la table. La fameuse table d’ailleurs, un flash érotique m’interpelle quelques instants, puis je me ressaisis et m’assois à côté de mon père. Bien entendu, je ne peux m’empêcher de regarder Karine, elle a remis une nuisette classique, mais qui dessine tout de même bien sa poitrine. Je louche quelques fois dessus. Louise m’adresse un coup de pied dans le tibia, je me mords les lèvres, la regarde avec de gros yeux alors qu’elle ...
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