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P atronne et putain
Datte: 30/06/2020, Catégories: Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme
... j'eus un début de larmes.>>>>>>>>>>>>>> J’étais adoubé. Il sembla que la tendresse qu'elle me témoignait par nombre de caresses lui apportait aussi à elle. Usant de ses termes, elle trouvait cela mignon et si rafraîchissant. Elle me dit que j'étais un élève valeureux. Qu’elle m'apprendrait de l'amour et du sexe tout ce qu’elle savait. Par la suite elle m'annonça que je n'aurais cependant aucun droit sur elle. Qu'en d'autres termes elle ne renoncerait pas à ses autres amants. Je dus me tenir à cette ligne. Les miettes concédées étaient pour moi déjà un grand festin. J'appris remarquablement. De l'innocence je parvins vite au vice.>>>>>>>>>>>>>> Le matin machinalement et après m'être assuré que personne ne venait je lui présentais ma bite au bord de la bouche pour qu'elle me suçât. Elle adorait ce geste impérieux et s’exécutait volontiers en putain respectueuse. Immanquablement après elle se penchait de moitié sur le bureau m'abjurant d'écarter le fil du string. Puis de l'enfiler ainsi sauvagement. Bientôt je pris goût à investir l'autre trou. J'adorais user du terme vulgaire : enculer. Je lui disais : « J'ai trop envie de t'enculer. » Elle recherchait cela. Filialement nous vînmes souvent à baiser dans mon studio à deux pas du ...
... bureau.>>>>>>>>>>>>>> Fort étonnamment nous parvînmes je crois à tenir incognito notre relation. Son Luigi était un satané jaloux. Il m'eût occis s'il savait. Désormais les jeunes filles n'avaient plus de saveur. Je les trouvais puériles, insignifiantes. J'aspirais aux vrais femmes. Si ma tante eût dit oui je l'aurais sur le champ sauté. Peu de temps après j'en vins un matin à baiser une de mes pratiques chez qui je faisais des courses. Elle m'allumait depuis longtemps. Elle fut étonnée qu'enfin je passas à l'acte. J'en fis une de mes régulières. Elle était non moins salope que la patronne. Ma mère releva le changement.>>>>>>>>>>>> Elle voulut savoir le nom de la fille qui m'avait ainsi dévergondé. Je ne pouvais décemment lui dire la vérité. Je la laissais dans le doute que ce put être une voisine, garce notoire qu'elle détestait. Elle acceptât la fatalité que cette fille eût déniaisé son fils. C'était un mal pour un bien. Mon père trouva bon que je devins enfin un homme. Devant moi il en félicita et le patron et son épouse. Il dit riant: « Finalement il aura tout appris chez vous». A l'instant j'eus un regard complice vers ma chérie. Celle-ci écarta les cuisses. Nous n'avions de cesse d'être dans une heure pour baiser tels deux fous .