L'apothéose et la fuite
Datte: 05/10/2017,
Catégories:
fffh,
hplusag,
fplusag,
fépilée,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
contrainte,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Partouze / Groupe
aliments,
sm,
attache,
yeuxbandés,
fouetfesse,
couple+f,
bourge,
... comme la veste de Christian est accrochée dans le corridor, elle fouille les poches intérieures et, là aussi, prend tout l’argent qui est dans le portefeuille. Maintenant elle dispose d’environ 500 €, ce qui va lui permettre de voir venir quelques jours et sans doute de rentrer chez elle. La porte s’ouvre sans bruit et en trente secondes elle est sur le trottoir, profitant pleinement de cette fin d’après-midi. Elle marche depuis dix minutes sans s’occuper de la direction qu’elle prend et c’est devant l’arrêt de bus où elle laissait les enfants de Julia qu’elle décide de traverser la route. — Attention, petite ! Le cri du pépé est arrivé trop tard. Un grand bruit de crissement de pneus et Marie-Claude se sent heurtée par une masse énorme qui la bouscule et la projette sur le côté de la route. Elle roule et sa tête va cogner le bord du trottoir. Elle sombre dans un grand trou noir. — Mon Dieu, je l’ai tuée ! C’est pas possible, je l’ai tuée ! Vite, quelqu’un avec un téléphone, appelez les pompiers, la police, je l’ai tuée! Le chauffeur du car se tient la tête entre les mains et le vieux qui a crié n’a pas de téléphone portable. Bien sûr à son âge, il ne voit plus les chiffres écrits si petits. Et puis personne ne l’appelle. Alors, un portable… Les deux hommes se sont penchés sur le corps de Marie-Claude allongée sur l’asphalte et le chauffeur de car la reconnaît. — Mais c’est la petite de l’autre jour qui avait un si beau cul et pas de culotte. Mon Dieu, je l’ai tuée, un si ...
... beau morceau. Le vieux est outré mais il doit bien reconnaître dans son for intérieur que le chauffeur a raison. Elle est sacrément bien foutue, la petite. Pendant que les deux hommes se lamentent, Marie-Claude, qui après tout n’est pas si morte que cela, se relève doucement et interpelle les deux spectateurs. — Eh, vous deux, vous ne pourriez pas m’aider à me relever, j’ai mal au dos avec vos conneries. La surprise se peint sur le visage du chauffeur, puis un sourire éclaire son visage. Il est soulagé car il n’a pas tué la petite. Il la prend dans ses bras et la soulève sans effort pour la remettre debout. Ses mains, bien sûr, ont légèrement glissé sur les seins de Marie-Claude et il a pu en tester la fermeté. Mazette, il la sauterait bien la donzelle mais pour le moment il a beaucoup de chose à se faire pardonner. — Voilà, mademoiselle, vous êtes debout, tenez, appuyez-vous sur moi et montez vous asseoir dans le car. Vous serez mieux à l’intérieur. Ça va ?— Euh oui, enfin je crois, ce qui est sûr c’est que je n’est rien de cassé. Je pense que je vais avoir un bleu énorme par votre faute.— Eh doucement miss, je n’y suis pour rien, vous avez traversé sans regarder.— C’est vrai, dit le vieux tout content de l’animation. D’habitude il ne se passe jamais rien dans sa rue. Aujourd’hui il est servi, un accident et une belle jeune fille qu’il peut presque toucher. Enfin, en pensée, car en réalité, il ne se passe pas grand-chose non plus dans sa vie de ce côté-là. — Bon, bon d’accord, ...