Le premier jour
Datte: 01/07/2020,
Catégories:
f,
h,
fh,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
... portable. — Bernard, c’est Aline, tu peux venir m’ouvrir ? J’allai lui ouvrir la porte — Tu as oublié quelque chose ?— Non, je suis venue tenir ma parole.— Ce n’est pas la peine, je te l’ai dit, je te l’ai rendue !— Je sais, mais en fait, sur le coup je n’en avais pas envie, puis après j’ai réfléchi et je me suis aperçu que j’avais envie de te faire plaisir, alors j’ai décidé de le faire. J’ai attendu deux jours car je voulais savoir si tu étais sincère et si tu ne ferais pas la gueule après. Quand j’ai vu que non, cela a renforcé mon envie de le faire. Je pense que tu es plus qu’une simple relation de travail pour moi, presque un ami. Si tu le veux bien, on pourrait se faire des petits restos de temps en temps et combler nos solitudes en attendant que Joël revienne et que toi tu rencontres quelqu’un d’autre. En attendant, je te l’ai dit, ce soir j’ai très envie de tenir ma parole.— Tu en es sûre ?— Oui, je ne suis revenue que pour cela, alors que rien ne m’y forçait. Ce fut cet argument plus que tous les autres qui m’a décidé. En effet, rien ne l’obligeait à revenir. — Alors d’accord. J’étais maintenant très excité, et je crus voir qu’elle aussi, sûrement comme moi le mardi précédent. Se mettant face à moi et avec un grand sourire qui me rassura sur ses réelles intentions, elle se mit à défaire, un à un, les boutons de son chemisier. Je vis apparaître un soutien-gorge blanc avec de jolies dentelles sur les bonnets. Quand il fut totalement ouvert, elle le retira entièrement ...
... me laissant admirer sa poitrine prisonnière de cette pièce d’étoffe. Puis, comme dans un rêve, je la vis mettre ses mains dans son dos et défaire l’accroche de son soutien. La facilité avec laquelle les femmes font cela m’a toujours stupéfié. Quand il fut défait, elle le retint encore un peu avec son bras pour l’empêcher de tomber, puis doucement elle écarta les bras et l’enlevant, le déposa sur le dossier de la chaise. Elle était maintenant seins nus face à moi. Dans son regard, je pouvais lire une certaine appréhension, qui disparut rapidement quand je lui dis : — Mon dieu, tu as des seins magnifiques. Pourquoi dis-tu qu’ils ne sont pas jolis ? Ce fut plus mon ton de sincérité que ma réaction qui lui fit plaisir. — C’est vrai ? Ils te plaisent ?— Oh oui ! Je les adore ! Et ne résistant pas à la tentation, j’approchai ma main pour les caresser. Elle eut un petit mouvement de recul puis se laissa faire. Je les pris en main, profitant de leur douceur, puis je posai mes lèvres et me mis à sucer un téton. Cela la fit gémir. Alors, comme elle l’avait fait la fois précédente, je lui dis : — Branle-toi pour moi ! Je suis sûre que tu en as envie et tu me feras un grand plaisir. Elle eut un instant d’hésitation, puis un sourire en relevant que je lui avais redit exactement la phrase qu’elle m’avait dite. Elle défit le bouton de son pantalon, le baissa légèrement et s’asseyant sur une chaise, elle commença à se caresser de telle façon que je ne pouvais rien voir d’autre que sa main qui ...