1. Menteur, menteuse, la règle du jeu


    Datte: 05/10/2017, Catégories: grp, couplus, extracon, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme pied, intermast, Oral jeu, glaçon, bougie, orties, humour, entrecoup, jeux,

    ... fin de la partie. Au trois ? Mais oui, il ne t’est pas interdit d’embrasser aussi ta compagne. Elle avait encore menti, tu exiges un baiser sur la bouche. Profond. Avec ta langue dans son palais, qu’envahiront sous peu d’autres langues, c’est le jeu. Il faudra bien en passer par là, si tu veux rouler une pelle, vulgairement parlant, aux deux autres jeunes femmes, devant leur compagnon. Même à Émilie, si amoureuse de Sébastien ? Mais oui, même à Émilie, aie confiance. Peut-être as-tu senti, quand même, que les choses allaient un peu trop vite pour elle, bien jeunette, sûrement encore fidèle. Alors pas si vite, le baiser sur ses lèvres ! Mais dans le cou, ou sur les paupières, c’est tendre et doux, cela ne saurait se refuser. Au bout de quelques parties, elle y arrivera bien, au baiser sur la bouche ! Closes, au début, ses lèvres pulpeuses ? Patience… Celui ou celle qui gagne une partie a le droit d’exiger quelque chose de la part d’une personne du sexe opposé, ou même de toutes les personnes du sexe opposé. Mais il ne faut pas aller trop vite, il est trop tôt pour demander à voir une partie du corps généralement dissimulée aux regards. Mais cela viendra. C’est Céline qui a gagné. Elle veut un gros câlin. De toi. — Qu’est-ce que tu entends par gros câlin ?— Devine ! Elle doit être jalouse d’avoir vu Nicolas s’intéresser de trop près à ton Aurélie. Elle se lève, te tend les bras. Tu l’enlaces. Elle ne déteste pas ton baiser dans son cou, mais elle entrouvre les lèvres. Sa ...
    ... langue est agile et plaît à la tienne. Tu bandes comme un cerf, mon cochon ! Pour la partie suivante, il sera bienséant d’ajouter au baiser, systématiquement sur les lèvres désormais - Émilie n’ouvre encore pas la bouche, mais elle ne va pas tarder à le faire, car elle trouve que son Nicolas en prend un peu trop à son aise avec les deux autres filles - d’ajouter au baiser, dis-je, le rapt d’un vêtement. Mais pas trop vite ! Commencez par les chaussures. Tu as des mocassins, Céline te les confisque. Ses douces mains caressent tes chevilles. Si j’étais à ta place, j’adorerais. Et les escarpins d’Émilie, qu’ils sont petits, qu’il est agréable de les lui enlever, en regardant un peu plus haut ! Ne caresse pas ses mollets, ce sera pour plus tard. Peut-être pas pour toi, mais pour Nicolas, qui fera glisser lentement, des deux mains, les bas d’une Émilie rougissante. Il caressera ses cuisses au passage, oh, très légèrement, mais cela suffira pour te rendre jaloux. Peut-être plus encore que Sébastien, son jeune amant, encore tout ému, lui, d’avoir désolidarisé de leurs jarretelles les bas de ta douce compagne. Il a longuement frôlé ses cuisses, effleuré l’arrière de ses genoux. Comment sait-il qu’elle ne résiste pas à cette caresse ? Et ses pieds ! Il a mis un temps infini à enrouler les bas d’Aurélie autour de ses petits petons, qu’il a fini par dénuder, en extase ! C’est vrai qu’elle les a fort séduisants, et que tu te plais d’ordinaire à les couvrir de baisers. Eh bien, Sébastien aussi ...
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