1. L'esprit d'escalier


    Datte: 02/07/2020, Catégories: fh, ff, ffh, fplusag, jeunes, voisins, profélève, nympho, grosseins, collection, fsoumise, fdomine, hdomine, contrainte, massage, entreseins, Oral fgode, pénétratio, double, fsodo, jeu, sm, attache, bourge, hff,

    ... l’internat. De votre corps, pour être plus précis.— Mon corps ? Je sentais que je jouais serré, Hélène avait agi à la va-vite et invité une femme qu’elle ne connaissait pas, et Brigitte ignorait la raison secrète de sa présence ici. Je me mis à lui masser les épaules. — Oui, Hélène m’a avoué qu’elle voudrait beaucoup vous ressembler, et je la comprends. Hélène, tenez, venez masser les pieds de Brigitte comme je vous l’ai appris.— Vraiment ? Ignorant de quoi je parlais, Hélène vint s’asseoir sur le petit repose-pieds et prit dans ses mains les pieds de Brigitte, qu’elle déchaussa en ayant l’air de savoir ce qu’elle faisait. Cette dernière posa sa tasse de thé et essaya de se donner une contenance. — Détendez-vous, Brigitte. Je ne vous fais pas de mal, au moins ?— Pas du tout, mais…— Non parce que vous savez, le Ti-ching est une technique ancestrale et très particulière. Je ne voudrais pas vous froisser un muscle si vous êtes trop tendue.— Très bien, dit-elle en relâchant les muscles de ses épaules. Je sentais qu’elle mordait à l’hameçon, ça allait peut-être marcher après tout. Même Hélène avait l’air moins terrifiée. — Donc, Hélène vous a parlé de moi. Et qu’est-ce qu’elle a pu vous dire ?— Que vous étiez une femme superbe, que beaucoup de jeunes filles vous enviaient au pensionnat.— Vraiment, qui donc ? Je décidai d’aller à la pêche, pour voir : — Eh bien, la grande blonde…— Sabine de V. ?— Elle-même, et son amie également…— Maud G. ? Pourtant elle n’était pas tendre avec ...
    ... moi.— Vous vous rappelez vos affaires qui disparaissaient…— Oh oui alors, plus d’une fois.— Ces sous-vêtements que vous ne retrouviez pas…— Oui, peut-être…— Eh bien Sabine et Maud vous les volaient et… elles les mettaient parfois. Enlevez votre veste, je dois descendre plus bas.— Vraiment, elles les passaient ? dit Brigitte en riant pendant qu’elle enlevait sa veste, laissant apparaître un haut beige sans manche au tissu tendu sur ses gros seins dont les tétons pointaient. Elle aimait ça la cochonne, elle allait être servie. — Tout à fait, une fois Hélène les a surpris… je ne sais pas si je dois vous le dire.— Mais dites, dites, n’est-ce pas Hélène qu’il peut me le dire ? Ce sont de vieilles histoires vous savez.— Eh bien… j’appuyais maintenant mes doigts serrés sur le haut et les côtés de ses seins, prenant bien garde de ne pas trop m’attarder, remontant sur les épaules de temps à autre. Eh bien, pour tout vous dire, et autant le dire crûment, Hélène les a surprise les mains dans votre culotte. En train de se tripoter.— Ohhh ! Vraimeeent ? Hélène, c’est vrai ? Hélène acquiesça. — Tout à fait, ces deux petites pimbêches s’embrassaient. Avec la langue. Et leurs deux mains, eh bien Jean-Baptiste a bien résumé, elles se caressaient furieusement.— Mais tu ne l’as dit à personne ?— Non, j’avais peur de créer un scandale.— Et qu’est-ce que tu… Mmmm, Jean-Baptiste, votre technique me fait de l’effet, c’est inouï ce que je me sens bien. Je plaquais alors ma queue tendue sur sa nuque ...
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