1. Fin d'une Histoire


    Datte: 02/07/2020, Catégories: fh, extracon, amour, volupté, revede, Oral pénétratio, ecriv_f,

    Elle ne l’a pas vu depuis plusieurs jours. Elle pense à lui sans cesse. Il hante ses nuits et ses jours. A chaque instant, son image flotte à côté d’elle… Mais l’histoire est finie, il ne veut plus d’elle. Elle sait qu’elle ne devrait plus penser à lui. Se contenter de classer leur jolie histoire au rang des agréables souvenirs. Mais de cette liaison sans lendemain est né chez elle un véritable sentiment amoureux qu’elle a du mal à maîtriser. Pourquoi faut-il qu’elle se soit entichée de lui. Ce n’est vraiment pas juste. Elle n’a rien à reprocher à son mari légitime pourtant; rien en tous les cas qui justifie la moindre trahison. D’ailleurs elle se sent plus coupable de sentir se développer en elle cet amour, que d’avoir été infidèle physiquement. La trahison du coeur est bien plus profonde que celle du corps. Pauvre mari… C’est vraiment injuste. Pourquoi ne peut-on commander à ses penchants amoureux ? Ah le fameux "enfant de bohème qui n’a jamais connu de loi…" Son mari a toutes les attentions dont une femme rêverait. Pire, il a parfois exactement les mots, les gestes ou les actes dont elle rêve; mais ce n’est pas le bon protagoniste… Pourquoi, quand son mari lui dit qu’il l’aime, qu’elle est belle quand elle s’offre à lui, pourquoi n’en éprouve-t-elle aucun contentement alors que si lui, son amant, en disait ne serait-ce que le quart elle serait déjà en pâmoison ? Elle ne peut même pas reprocher à son mari de mal lui faire l’amour… Il connaît son corps par coeur, il sait la ...
    ... faire jouir par des caresses habiles et il y a cette confiance réciproque, cette capacité à bannir toute pudeur et à s’abandonner qu’on ne trouve que chez des couples unis de longue date… Pourtant, si la technique est bonne, si elle jouit souvent, c’est à l’autre qu’elle pense. Elle rêve de ses mains, de sa bouche, de son regard… Ah s’il pouvait avoir ce même regard amoureux vis-à-vis d’elle… Il y a comme une erreur de casting… Elle meurt d’envie de l’avoir près d’elle : sentir ses doigts parcourir son corps, pétrir ses formes, se faufiler dans tous les orifices disponibles. Mais il n’est pas là. Plus jamais il ne sera là. Elle voudrait pouvoir le sentir, le toucher, goûter le sel de sa peau, respirer son parfum. Elle repense à leurs étreintes. Déboutonner sa chemise et découvrir son torse : la toison brune, les tétons rouge et minces, un nombril tout mignon… Caresser lentement des deux mains en veillant à être la plus douce possible. Effleurer à peine les poils; caresse aérienne; faire naître le plaisir par paliers. Elle repense à lui et là voilà qui chauffe à nouveau. Elle aimerait tant qu’il soit là et embrasse le bout de ses seins, les tète, les mordille. Mais elle est seule. Elle descend une main le long de ses cuisses. Le liquide qui coule n’est pas innocent. Elle mouille. Encore. Encore et toujours en pensant à lui. Elle passe ses doigts sur le mont de Vénus tout épilé; c’est drôle ce contact; elle n’est pas encore habituée; une peau tendre et grasse comme celle d’un ...
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