Max
Datte: 02/07/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
cinéma,
voyage,
Oral
pénétratio,
confession,
aventure,
amourcach,
amourdram,
vengeance,
bourge,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nature,
Collègues / Travail
Cette histoire est une histoire vraie ; je n’en parle qu’aujourd’hui car j’ai longtemps cru à des représailles possibles. J’ai fait le dos rond en maintenant totalement le silence sur cette tragédie érotique. Je ne suis jamais retourné dans ce pays malgré des affaires professionnelles. Vingt-cinq ans ont passé depuis cette aventure gabonaise. __________________________ 1990 : je travaille dans l’audiovisuel, et mes activités m’amènent quelquefois en Afrique, où je suis très à l’aise et où j’apprécie les gens. Si une opportunité se présente de ce côté, je la saisis le plus souvent. Cette fois, c’est Libreville ; mon ami Max, Gabonais de son état, m’appelle pour me proposer de l’accompagner avec une équipe de la télé gabonaise dans la forêt des Abeilles, dernière forêt primaire du pays, pour aller à la recherche des quelques tribus pygmées qui y vivent encore. Le but de ce film est commercial – il passera à la télé –, prophylactique – l’équipe du film apporte des médicaments – mais c’est aussi un acte propagandiste : Omar Bongo, le président-roi se doit de passer pour un bon Samaritain s’occupant à merveille de son peuple. Ce n’est pas la première fois que je vais au Gabon, et à chaque fois le sexe y est très présent, Max me réservant les meilleures soirées ou les meilleures situations, soit en les organisant, soit en me faisant inviter dans les soirées de la jet-set. Max est un type adorable ; il a quatre femmes, une avec qui il vit, et trois qu’il visite régulièrement, ...
... prodiguant en patriarche plaisir, argent et protection. Il m’a souvent mis dans des situations érotiques parfois particulières, mais toujours avec le soin de me faire plaisir. D’un voyage précédent, je me rappelle par exemple les baignades avec deux de ses amies. Max connaissait les coins tranquilles. C’était en plein dans les années sida, et j’étais plus que méfiant. Mais dans cet exemple, il n’y a pas eu de pénétration. On s’amusait – comme disaient les filles – à « tire-queue ». Le jeu consiste à jouer à « chat » en se baignant nus, c’est à dire à se courir après comme des gosses, soit toucher le téton de la fille, soit c’est elle qui vous touche le pénis. Inutile de dire que cela finit très mal (très bien, je voulais dire). Je souris en me voyant encore courir en pleine bandaison, en essayant d’attraper la plus jolie. Cela s’est terminé par une branlette réciproque, mon sperme finissant sur le sol à nourrir les crabes (vous ne trouvez pas que cela a un goût particulier, le crabe ?). Une autre fois, je me souviens d’une pipe mémorable dans un cinéma à Libreville, avec une jeune fille que je n’avais vue que quelques secondes en plein jour. Rendez-vous avec Max pour aller voir un film. Celui-ci arrive, me dit qu’il ne peut pas rester et me laisse avec la jeune fille qui l’accompagne. Le film démarre ; c’est un vieux film français. Cinq minutes après, je sens une main se poser sur ma cuisse et remonter doucement. Nous étions peu nombreux dans le cinéma, mais tout de même on pouvait ...