1. Balade pas trop loin de Lille et retour


    Datte: 05/07/2020, Catégories: fhh, couplus, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral

    ... ! Il est bien dommage que je ne fasse pas partie de votre… comment dire… galante compagnie…— Qui sait… qui sait… postulez et vous le saurez ! Remplissant son assiette, l’homme soupire : — Ne me donnez pas de regrets, s’il vous plaît…— À vous de voir ! Cent pour cent des gagnants ont tenté leur chance, vous savez… Et sans lui laisser le temps de répondre, je le contourne afin de regagner ma place. Au moment où je m’éloigne de mon inconnu, je m’amuse à frôler furtivement de mes ongles laqués le devant de son pantalon. Il en est tout pantois et cramoisi ! C’est avec un large sourire que je reviens m’asseoir auprès de mes hommes. Attablée, je me fais un plaisir de leur expliquer ce qui vient de m’arriver, ce qui amusent beaucoup mes deux compagnons de table. Quand nous quittons le restaurant, le voisin n’a pas tenté sa chance. A-t-il compris ou pas ? Néanmoins, je croise son regard alors que je m’approche vers la sortie. Je m’arrête un bref instant, l’interrogeant du regard. Il me répond par un sourire qui signifie visiblement qu’il aurait bien voulu mais qu’il ne peut point. Tant pis pour lui… D’autant qu’il était agréable physiquement… Au volant de la voiture, Pascal se dirige vers le petit bois situé pas trop loin de chez nous. Il s’engage à présent dans un chemin en terre, soulevant un énorme nuage de poussière derrière nous. Je n’aimerais pas être au bord du chemin ! Nous nous arrêtons auprès d’une barrière fermée. Pascal recommande : — Attendons un peu que le vent chasse ...
    ... la poussière et nous pourrons sortir. Nous attendons donc un peu, puis nous sortons. Un chemin ombrageux s’enfonce dans le bois, nous nous y engageons. Il fait bon, très agréable ! Nous arrivons bientôt à un carrefour. Pascal demande : — Tout droit, à deux kilomètres, une petite mare et ses moustiques ; à droite, le cœur du bois ; et à gauche, vers une zone moins arborée.— À droite, le bois… Du monde par-là ?— Non, très rarement. Le monde, c’est plutôt à gauche, vers la lande sableuse. Donc direction le bois. Il fait de plus en plus sombre et de plus en plus frais. Ma petite robe noire toute simple et toute légère est adéquate. Je marche devant, les hommes sur mes pas ? Je me demande s’ils ne sont pas en train de profiter de mes fesses qui dandinent. Soudain, je me fige, je pense avoir entendu des voix. — Pourquoi tu t’arrêtes ?— Je viens d’entendre des voix !— Ah bon ? Pascal se fige à son tour et écoute. Puis il me dépasse et avance d’une bonne trentaine de mètres puis il quitte le chemin. Peu après, il revient vers nous, un grand sourire. Il explique : — Ce que tu entends, ça vient du groupe de maisons le long de la nationale.— On est si proche que ça de la route ?— Non, à cet endroit, le bois est moins épais, si tu vois ce que je veux dire, et la route est à cinq cents mètres à travers champs. De plus, le vent souffle vers nous, d’où le fait que tu entends bien des voix.— Ah ok. Donc personne ?— Non, sauf nous trois… Nous continuons sur le chemin. En effet, un peu plus ...
«12...101112...16»