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Étudiant chez l'habitant (9)
Datte: 06/07/2020, Catégories: Partouze / Groupe
Chapitre 9: Chez Laurence Laurence était garée dans la cour de la maison, nous sortîmes donc nus et nous engouffrèrent à l’arrière de son monospace, là où les vitres étaient teintées. Laurence qui s’était rhabillée pour conduire me fit redescendre pour prendre place côté passager avant. Elle m’expliqua avec son petit sourire malicieux que comme son véhicule était automatique, elle tâterait bien de mon manche durant le trajet afin de se rappeler les sensations d’un levier de vitesse… Il faisait quasiment nuit. La main de notre amie faisait des allers retours sur mon membre qui s’était de nouveau durcit. A l’arrière, nous devinions que Mathilde s’affairait la main entre ses cuisses. Les sièges en cuir collaient à notre peau. Laurence parlait de tout et de rien, nous expliquant qu’elle habitait un petit hameau de 5 maisons isolés en limite de la forêt qui borde l’océan. A quelques kilomètres de l’arrivée, n’y tenant plus, je jouis entre les doigts de ma bienfaitrice. Elle continua son mouvement un temps puis, jugeant sa main suffisamment imprégnée, porta les doigts à sa bouche pour en recueillir ma liqueur. — Dommage pour toi, Mathilde, si ton homme avait tenu 5 minutes de plus on serait arrivé et t’y aurais eu droit toi aussi, hihi ! — C’est pas juste ! Jérémy, t’es pas cool quoi, tu pourrais penser à moi ! Déjà que je dis rien quand une autre te branles ! Tu pourrais avoir un peu plus de respect pour moi ! Je n’eus pas le temps de répondre que nous étions arrivés. La maison ...
... qui nous faisait face était campagnarde, en pierres apparentes, au centre d’une belle surface de pelouse. Nous apercevions les habitations voisines qui étaient uniquement délimitées par des haies éparses. — Allez hop, tout le monde descends ! Nous hésitions à quitter la sécurité de la voiture car nous allions devoir parcourir une bonne trentaine de mètres entre l’entrée de la propriété et la porte de la maison ! — Euh, c’est pas possible de se rapprocher un peu ? Demandais-je. — Pff, ça va c’est pas loin ! Qu’est-ce que vous avez ? Eh ben dis-donc, Vous êtes pas très courageux à vos âges ! — Mais on va nous voir ! On voit la lumière des fenêtres des voisins ! — Bof, c’est que ça ! Vous inquiétez pas alors, allez, sortez ! Ils en ont vu d’autres ! Ahaha… Peu rassurés par ces paroles nous nous décidâmes à sortir et courûmes aussi vite que nous pouvions pour atteindre le seuil de la porte. Mon sexe et les seins de mon amie battaient l’air au rythme de nos foulées. Cela eut pour effet de nous arracher un petit rire…Lorsque tranquillement la maîtresse des lieux nous rejoignit nous entrâmes en sa demeure. Une fois à l’intérieur, nous pûmes souffler. La décoration était coquette et le mobilier rustique. Un détail nous fit sourire : il y avait sur les meubles et sur les murs, des cadres photos dans lesquels nous pouvions voir Laurence dans le plus simple appareil ! Elle était quelquefois accompagnée d’autres personnes nues elles aussi. Et au milieu de toutes ses photographies, en ...