1. Fatalisme. M.A.K. my life... ou presque. III


    Datte: 05/10/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... - Bon je vous laisse. Je suis sûr que vous avez plein de trucs à vous dire. Merci pour la soirée. Il a claqué les fesses de ma femme, n’a pas hésité à lui rouler un patin d’enfer devant moi avant de partir en sifflotant. Nous sommes rentrés sans parler. Côte à côte comme des inconnus. J’imaginais le jus en train de couler entre les cuisses de ma femme. J’avais été lâche et j’avais participé. A la maison, elle a été directement dans la salle de bain. J’ai pris un coussin et une couverture pour m’installer sur le canapé. Je me suis couché en slip. J’essayais de revivre cette soirée complètement folle, mais je n’y arrivais pas. Mon esprit refusait les images. Margot était dans l’encadrement de la porte vêtue de son déshabillé. Je voyais ses courbes si belles en contrejour. J’avais une boule dans la gorge. - Tu veux pas venir dormir avec moi Didou? Sa voix était si douce, implorante. - Je préfère dormir ici. La mienne manquait d’assurance. - Viens Didou. Je t’en prie... J’ai froid sans toi... Je vais t’expliquer. - M’expliquer quoi? Que je suis cocu? Que ma femme est une salope? Qu’il paraît que c’est une baiseuse hors pair? Je hurlais des mots qui nous faisaient mal. - T’es qu’une pute ! Tu m’as trahi ! Une salope qui se fait sauter par un jeune black pendant que je me tue au boulot. ’’Une-Marie-couche-toi-là” qui aime sentir le jus couler.. Elle pleurait et je crois bien que moi aussi. Elle s’est enfuie dans notre chambre Elle a pleuré une bonne partie de la nuit. J’étais ...
    ... paumé seul dans ce salon. Jamais je ne l’avais fait pleurer. Je m’en voulais à mort. FATALISME ET ACCEPTATION. Trois mois... Trois mois que je sais que je suis cocu. Trois mois de discussions sans fin avec Margot. Je lui demandais sans relâche des explications. Elle me renvoyait qu’elle avait craqué. Que j’étais jamais là. Qu’elle ne savait pas pourquoi elle avait cédé. Je la mettais en garde contre ce genre de mecs. Mais Kemb est riche. En train de terminer ses études de médecines dans l'hôpital de la ville. Je lui demandais cent fois pourquoi. Elle ne le savait pas elle-même... “C’est venu comme ça Didou...” Je lui demandais de le quitter. Elle ne me répondait pas. A chacun de mes retours de déplacement, je sentais un changement dans la maison. Ils ne se gênaient plus pour se voir chez nous. Des draps froissés. Des odeurs inconnues. Une brosse à dents cachée au milieu de son linge. Un sac de linge propre et repassé caché dans la cave. A chaque fois j’encaissais en silence. Et pour être tout à fait honnête dans ce récit, je suis obligé d’avouer que je ne pouvais pas m’empêcher de penser à eux dans mes chambres d'hôtel. Et invariablement cela finissait par une masturbation. Je me complaisais dans cette situation du cocu en rejetant la faute sur elle. Au lit elle ne se refusait jamais à mes pulsions. C’est moi qui avais honte en pensant que je n’étais pas à la hauteur. Pourtant il me semblait qu’elle jouissait comme d’habitude. Sa docilité à répondre à mes caprices sexuels ...
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