1. Fatalisme. M.A.K. my life... ou presque. III


    Datte: 05/10/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... troublée et a lentement enlevé son slip. - Comme ça ? ? - Oui. C’est parfait. Enfile une robe. Je descends préparer l’apéro J’ai quitté la chambre. Je bandais. Je me sentais soulagé. Soulagé, triste et inquiet. J’ai mis la table. Elle m’a rejoint. Sa jupe flottait autour de ses jambes. Et un chemisier blanc moulait son buste. Je la sentais nerveuse. Très nerveuse. Comme moi. Nous nous sommes embrassés. Un baiser intense profond. Elle a touché ma braguette. - Mais tu bandes mon cochon. J’ai passé une main sous sa robe, directement au contact de sa grotte. - Il me semble que toi aussi tu es excitée. Tu n’as pas mis de soutien-gorge? - J’ai pensé que c’était mieux. - Tu as raison ! Que ta robe. Nous finissions les préparatifs quand le carillon de la porte a retenti. - Vas lui ouvrir. J’avais la gorge sèche. Mes mains tremblaient. Il était là. Dans l’encadrement de la porte. Grand sourire carnassier. - Salut mec. - Bonsoir - Il parait que t’es passé me voir. Fallait me réveiller. - C’est vrai Didou ? - Pas grave. Assieds-toi. Tu bois quoi ? - Jus de fruit.. Margot sait que je ne bois pas d’alcool. Il a éclaté de rire. je n’ai pas compris pourquoi. Margot lui a tendu son jus de fruit. Il l’a prise par la taille. Elle a voulu se dérober. Il l’a maintenu contre lui. - Ne sois pas farouche ma gazelle. Pas de faux semblants. Il est cocu et il le sait. Et je suis sûr que si je suis ici c’est parce qu’il croit qu’il va réussir à nous séparer. Il a plaqué le dos de ma femme contre son ...
    ... torse. Elle me semblait minuscule devant lui. Il me défiait sans retenue. - Tu as une femme magnifique. Il lui caressait lentement les seins. Grosses mains noires sur chemisier blanc. Margot ne bougeait pas. - Et tu ne te rends même pas compte que tu es en train de la perdre. Il a passé sa main droite sous le chemisier. Elle a laissé faire soumise et consentante. - Je crois que je l’ai déjà perdue. Je n’ai pas reconnu ma voix. Les voir ainsi les deux dans notre propre salon me pétrifiait. La situation m’échappait. Mais ce que je venais de dire à mon corps défendant les a déstabilisé. - Pourquoi tu dis ça Didou ? Ne dis pas cela ! C’est pas vrai ! - Regarde toi ma puce. Tu es avec ton amant devant moi, en train de te faire peloter les seins et tu ne veux pas le quitter. Kemb a pris la parole. - Margot m’a dit que tu es du signe du bélier, moi je dirais plutôt que t’es un mouton. Il a ouvert les boutons du chemisier. Ma femme ne bougeait pas. Les grosses mains noires ont empaumé les deux seins. Complètement figé, je regardais le spectacle. Je me suis aperçu que je bandais en les regardant. Comme dans le parc. Il lui a mordu le lobe de l’oreille avant de lui chuchoter un truc que j’ai pas compris. Margot a fait non de la tête. Il a insisté en la poussant vers moi. C’est lui qui lui a pris le poignet pour plaquer sa main sur ma braguette. - Tu vois j’avais raison ma gazelle. Ton mari aime cette situation même si il ne le sait pas encore. Moi aussi je bande. Il lui a dégrafé la jupe ...
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