1. Julien et le monde des femmes


    Datte: 06/07/2020, Catégories: f, fh, Collègues / Travail sales, douche, hsoumis, fdomine, contrainte, Masturbation nopéné, nonéro, humour, sf,

    ... je m’étais dit que non, je ne pouvais quand même pas abandonner une collègue de bureau à la merci des petites frappes du quartier… Ah, j’te jure ! J’étais champion pour me mettre dans des situations de merde ! En priant pour qu’Angélique ne s’évanouisse pas avant l’arrivée de l’IREN, j’avais orienté nos pas incertains vers le lieu de prise en charge, juste au coin de la rue. À l’angle, une musique orientale tonitruante s’échappait d’un bar où traînaient encore quelques consommatrices. Comme de bien entendu, plusieurs zonardes attablées à la terrasse du bar nous regardaient, levant le coude et rigolant à gorge déployée. — Oh, les meufs, petit cul à 10 heures. Et mignon comme un ange, en plus !— Un ange, un ange… plutôt un beau puteau ! J’me le ferais bien au quatre heures !— Le petit minet a l’air occupé, avec sa grande gigue dans les bras… Mais c’est pas elle qui lui fera sa fête ce soir, elle est schlass !— Oh, trou du cul d’amour ! Ça te dit pas, une bonne baise avec de vraies femmes ? On est trois, mais on est partageuses… ha-ha-ha !— Je ne crois pas, ai-je répondu, priant pour que la chauffeuse arrive rapidement. Merci d’avoir proposé. J’essayais de ne pas montrer ma peur en restant détaché et souriant. Intérieurement, je me liquéfiais. Et cette voiture qui n’arrivait pas ! — Ce petit salop se fout de notre gueule. Vous croyez qu’il va autant se marrer quand on va lui fister le cul avec nos poings ?— Nan, j’crois pas. Quel pied ce serait, de lui éclater sa petite pine à ...
    ... coup de chattes…— Hé, connard ! Regarde-nous quand on te parle ! Fais pas comme si t’entendais rien…— C’est parce qu’il se croit trop bien pour nous, ce petit puteau !— Vas-y Norberte, attaque ! Je tournai la tête vers leur tablée où s’amoncelaient les chopes vides. L’une des meufs s’était levée et s’avançait vers moi, un sourire mauvais épinglé sur sa tronche de cake. Le nez écrasé, légèrement tordu, le crâne rasé sur les côtés avec une mèche de cheveux huileux qui lui retombait dans les yeux. Des billes de haine, injectées de sang et ne cillant pas, qui me lançaient un message pas très compliqué à décoder. Danger en approche rapide… Avec Angélique dans les bras, qui pesait autant qu’un cheval mort, l’option fuite était hors de portée ! — Alors, mon joli, on te plaît pas ? Tu sais quoi, petit salop, avec nous tu prendrais bien ton pied… Ça te branche ? Oh ! Tu réponds quand j’te cause, pauvre connard !— C’est bon, lâchez moi, dis-je entre mes dents serrées. Ça commençait à puer grave. Et ce n’était pas seulement l’odeur de bière chaude et de vieille crasse que dégageait ma nouvelle amoureuse : ça puait la peur, l’effroi, le stress qui montait en flèche et submergeait mon jugement, m’empêchant de trouver la moindre issue à cette situation qui se dégradait de minute en minute… Les rares passantes traînant dans le quartier à cette heure avancée ne m’étaient d’aucune aide. Soit elles pressaient le pas, baissant le regard comme si l’agression ne les concernait pas, soient elles ...
«12...789...17»