1. Elodie chérie (1)


    Datte: 06/07/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    Elodie1 Je m’appelle Marc et j’ai presque cinquante et un ans. Je suis marié à Maria. Nous avons deux filles. La plus jeune, Aurélie a dix-huit ans et vient de réussir son bac. Sa grande sœur Elodie à vingt deux ans, sans emploi à part un petit job cet été. Maria et moi n’avons pas obtenu nos congés en même temps et elle a décidé de rejoindre sa famille au bord de la mer. Aurélie s’ennuie à la maison, tous ses amis sont partis et préfère accompagner mon épouse et retrouver sa cousine. Je vais les accompagner au train en ce treize juillet. De retour à la maison, la chaleur est si étouffante que je prends une douche pour me rafraîchir. Quand je reviens dans le salon, Elodie est rentrée de son travail. Elle fume une cigarette tout en tapotant sur son téléphone portable. Nous mangeons simplement sur la terrasse et la fraîcheur du soir fait du bien. Nous allons nous coucher et peu de temps après un orage éclate. Dans un demi-sommeil, je me lève et ferme les fenêtres pour éviter toute surprise. Je retourne me coucher et là, l’orage devient extrêmement violent. De la fenêtre, à moitié endormi, je regarde les éclairs qui illuminent le ciel. Puis retourne me coucher. C’est alors qu’Elodie entrouvre la porte et me déclare qu’elle a peur de l’orage. Elle porte une chemise de nuit rose en coton très courte qui dévoile sa culotte fleurie en coton également. J’ouvre le drap et elle s’allonge près de moi. J’éteins la lampe de chevet et elle se blottit contre moi. Je la tiens par épaules et ...
    ... lui fait un câlin protecteur. Elle pose une main sur mon torse et le caresse. A chaque claquement, elle trésaille et je la serre plus contre moi. Ma main a glissé et entre en contact avec la fermeté de son sein. Spontanément je la retire pour la remettre sur son épaule. Et je m’endors. Le quatorze juillet étant férié, je peux dormir plus que d’ordinaire. Toutefois, je suis réveillé par une odeur agréable. Elodie s’est levée pour me préparer un plateau de café. Le soleil est levé et éclaire ses longs cheveux noirs. Elle s’assoit sur le bord du lit et une bandaison matinale déforme le drap. Elle regarde la bosse en souriant puis m’offre une tasse. Je me redresse et tout en sirotant, je remarque sa poitrine et ses tétons dressés qui déforme sa chemise de nuit. Je reprends conscience et écarte mon regard. Elle pose sa tasse s’appuie sur le lit et se penche pour me faire une bise. Ce faisant son coude entre en contact avec ma verge tendue. Ca n’a pas duré une seconde mais je me sens gêné. Elle ne fait aucun commentaire et reprend le plateau pour redescendre dans la cuisine. J’attends de longues minutes que mon érection se calme et l’y rejoins. Nous prenons le petit déjeuner puis après s’être lavée elle m’abandonne pour rejoindre sa copine Sandrine. Je reste seul à la maison. Il fait trop chaud pour travailler à l’extérieur aussi je fais un peu de ménage et m’assoupis sur un livre. Le téléphone sonne. C’est Maria qui m’annonce qu’elles vont aller rejoindre ma belle-sœur à la plage ...
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