1. Un été des années 70


    Datte: 06/07/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... qu'elles étaient divorcées), attardons-nous sur cette réputation de Mmes Bonneau et Robert. Dans cette collectivité adolescente et testéronée qu'est un lycée avec une représentation mâle au moins égale à la femelle, les deux dames alimentaient beaucoup de fantasmes liés aux femmes mûres. Mme Bonneau avait une prédilection pour la jupe courte et le cardigan légèrement déboutonné sur un vallon troublant tandis que Mme Robert ne se séparait que rarement d'une robe fendue sur le côté. Cela avait pour effet de dévoiler largement leurs cuisses une fois assises. Damien avait très vite occupé une position stratégique dans la salle, non en face du bureau (masqué par un panneau) mais sur le côté, de sorte que, quand madame Bonneau croisait les jambes (ce qui arrivait forcément plusieurs fois dans l'heure), il pouvait apercevoir son slip, généralement de couleur blanche et parfois noire. Il lui était tout aussi loisible de mater ses cuisses dodues, qu'elles fussent gainées de nylon ou pas, selon la saison. Quant à madame Robert, la salle où elle faisait cours le plus souvent était moins favorable à l'exploration visuelle mais Damien s'était entendu rapporter par des élèves chanceux des scènes fantasmagoriques où la prof d'allemand avait dévoilé de manière impromptue (?) un porte-jarretelles digne d'un film d'Emmanuelle, fort en vogue à l'époque. Toute cette mythologie hantait l'esprit des deux lascars pendant qu'ils devisaient avec les deux enseignantes en vacances, aux formes aussi ...
    ... complaisamment exposées. Damien tenta de savoir sur quelle plage elles allaient bronzer mais elle restèrent évasives, signalant simplement qu'elles se rendaient "sur la côte sauvage", longue de plusieurs kilomètres. Les deux étudiants en conclurent in petto qu'elles bronzaient nues, ce qui ne fit qu'augmenter la boule au creux de leur estomac. Et l'on se sépara en se promettant de prendre un pot ensemble un de ces soirs : - Maintenant, ce n'est pas possible, on va au cinéma, confia madame Bonneau. Et les deux gars en furent quittes pour une poignée de main. Chaleureuse certes mais sans perspective immédiate. En poursuivant leur promenade, ils se confièrent leurs espoirs : - Tu crois qu'elles baisent ? interrogea Cédric. - Sans doute, oui, mais avec nous, ça me parait mal engagé, sinon elles ne seraient pas allées au cinoche. On doit être trop jeunes pour elles. - Putain, tu as vu ces nibards ? Elles n'ont pas peur de les montrer, les salopes. - Ne dis pas ça. Ce ne sont pas des salopes. Elles sont bien dans leur corps, c'est tout, et puis c'est l'été, non ? - Ouais c'est vrai. N'empêche, je me souviens qu'on discutait souvent des roberts de madame Robert. - N'en parle pas. Si tu savais le nombre de fois où je me suis branlé en y pensant, comme aux cuisses de la mère Bonneau. Je constate d'ailleurs qu'elle est toujours bandante, celle-là. Elles ne doivent pas avoir de mal toutes les deux à s'envoyer en l'air. - Et si on allait sur la côte sauvage pour les draguer à poil ? suggéra ...
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