1. Paul devient Paule (4)


    Datte: 06/07/2020, Catégories: Transexuels

    ... je bande assez fort, sous son regard lubrique. Il m’attrape la queue par moments, comme pour en tester la raideur. Ses doigts glissent aussi entre mes fesses et forcent facilement ma rondelle. Je crois que je mouille déjà ! Lui aussi bande de plus en plus et son membre se balance devant mes yeux. Il place entre mes fesses un gode monté sur un axe qu’il commande avec un boîtier. Le gode s’avance, s’immisçant dans ma rondelle. Je pousse pour accueillir ce sexe en latex. Le glissement sur ma rondelle dilatée, puis sur mes chaires intimes est divinement bon. Je me détends, profitant pleinement de cette pénétration mécanique. Le gode s’agite maintenant tout seul d’avant en arrière, pilonnant consciencieusement mes entrailles au rythme réglé par Frankie. Celui-ci me ligature maintenant les couilles en les divisant bien avant d’entortiller ma queue qui semble vouloir grossir encore, étranglée par cette cordelette. Mon gland rougit encore, congestionné, prêt à éclater. Il suinte aussi, laissant perler les gouttes translucides témoignant de mon excitation. La cordelette est fixée à une potence au-dessus du fauteuil. Après avoir placé des pinces sur mes tétons, Frankie entraîne Marie vers son bureau. J’ai juste le temps de l’entendre lui dire : — On va voir combien de temps il tient avant de..... Le bruit du moteur électrique entraînant le gode entre mes fesses envahit la pièce. Cette sodomie mécanique est enivrante, excitante. Je suis soumise à une machine. Cette machine qui me ...
    ... baise va me faire jouir. Car je sens cette boule de feu naître au fond de mon ventre. Ma queue ligaturée me fait divinement mal. La tension sur mes couilles est terrible. Chaque fois que le gode arrive en bout de course, au fond de mon ventre, j’ai l’impression que la cordelette se resserre encore. La pression des pinces sur mes tétons augmente aussi doucement. J’inspire profondément. Le gode se retire. La cordelette me cisaille les couilles et la queue et les pinces tirent sur mes tétons exsangues. J’ignore que Frankie et Marie me regardent sur un écran. Il augmente la vitesse du gode en tournant le bouton sur son boîtier. Je ne peux empêcher un cri, vite perdu dans mes gémissements. Waouh ! Que c’est bon ! Douleurs, plaisirs. Ma queue est en feu mais je vais jouir ! Mon gland va exploser. Comme si mon sperme ne pouvait pas gicler alors que le gode me lime encore et encore. La bombe éclate soudain au fond de mon ventre, me faisant me raidir dans mes liens. Mon foutre fuse de mon méat, enflammant mon gland déjà hyper sensible. Le gode ralentit un instant, avant de repartir à nouveau. Je n’ai pas débandé. Je ne peux pas débander. Ligaturée comme elle est, ma queue reste sous pression. J’ai l’impression de sentir mon souffle sur mon gland tellement il est devenu sensible. Le premier coït m’a pris d’un coup. Le deuxième arrive aussi vite. Je crie maintenant presque en continu, des cris de plaisirs où se perdent mes supplications pour arrêter cette machine infernale, qui me procure ...