Isabelle - Histoires de Sexe

Isabelle

... reconstruire une partie de la ferme. Si elle partait maintenant, elle aurait déjà de quoi plaire à son père. Mais si elle restait, elle pourrait en avoir dix fois plus. — Désires-tu continuer ? demanda le noble.— Oui, mon seigneur et maître, répondit-elle. Après tout, dès qu’il en demanderait trop, elle pourrait partir. Il semblait sincère quand il la disait libre de s’en aller à tout instant. — Alors, dis-le clairement.— Je veux continuer, mon seigneur et maître.— Ce petit jeu te plaît, avoue ! Elle le détestait. Non, ce jeu ne lui plaisait pas. Elle réfléchit et en fait, si, ce jeu lui plaisait mais pas comme il le pensait. Il croyait dominer mais elle le faisait. — Oui, j’adore, mentit-elle. Continuez, s’il vous plaît, mon seigneur et maître. Il eut un sourire énigmatique puis il se pencha et souffla : — Crois-tu me leurrer, petite paysanne ? As-tu seulement idée du nombre d’idiotes dans ton genre qui sont venues ici après la dispersion du message ? Il y eut un petit silence. Isabelle douta alors qu’elle contrôle quoi que ce soit. Il se redressa plus souffla : — Cependant, j’apprécie que tu aies menti pour me plaire. Ça mérite récompense. Il lui plaça une deuxième pièce dans le ventre. Isabelle se dit que finalement, elles n’étaient pas si difficiles que cela à gagner, ces pièces. Elle changea d’avis la seconde suivante, alors qu’il entra sans ménagement un doigt dans son anus. Elle cria autant de surprise que de douleur. — Tu vois, tu vas crier pour moi, petite chienne. ...

... Elle voulut le lui refuser, mais lorsqu’il entra un second doigt en force, elle ne put réfréner ses cris. Il sortit puis souffla : — Bientôt, j’y mettrai mon sexe dur. Qu’en penses-tu ? Comme elle ne répondait pas, il claqua méchamment une de ses fesses. — J’attends cela avec impatience, mon seigneur et maître, mentit Isabelle.— Bonne réponse, petite chienne, dit-il en se relevant. Cependant, tu vas devoir patienter un peu. Pour le moment, remets-toi à genoux. Elle obéit et sentit les pièces glisser dans son ventre. Elle eut un instant peur qu’elles tombent. Elle porta ses mains sur son sexe, mais il lança : — Non ! Tu m’appartiens le temps de ce petit jeu. Interdiction de te toucher, sauf sur ordre ! Remets tes mains dans ton dos.— Mais, commença Isabelle.— Si elles tombent, tant pis pour toi. Tu partiras avec ce que tu auras dans le ventre, ni plus, ni moins. Elle contracta son ventre, mais douta de pouvoir le faire réellement longtemps. Lorsqu’elle fut correctement position, il proposa : — Désires-tu que je les enfonce plus profondément, au risque de briser ta virginité ?— Non, mon seigneur et maître, répondit Isabelle. Il hocha la tête puis s’approcha d’elle. D’une main, il lui releva la tête si bien qu’elle avait la bosse dans les braies du noble juste en face du visage. — Libère ma bite. Elle obtempéra en grimaçant. Elle ouvrit l’écrin de tissu, dévoilant un sexe déjà bien dur. Isabelle, n’en ayant jamais vu avant, ne sut s’il était gros ou petit. Le noble força alors sa ...