Isabelle - Histoires de Sexe

Isabelle

... pertinemment qu’elle ne comprendrait probablement pas la réponse. Lorsque le repas fut terminé, le noble regarda Isabelle et lança : — J’ai envie de jouer un peu mais j’aimerai innover. Cependant, je ne veux pas t’imposer quoi que ce soit. Je vais donc t’expliquer ce dont j’ai envie et tu ne vas évidemment pas me couper la parole. Ensuite, tu auras tout loisir de me dire ce que tu en penses.— Bien, mon seigneur et maître, dit Isabelle, agenouillée près de lui.— J’aimerai beaucoup te partager avec un de mes amis. Un noble, un duc. J’apprécierai que tu prennes soin de nous deux en même temps. Isabelle ouvrit de grands yeux et elle fut prise de nausées. Il rajouta : — Bien évidemment, pour double travail, double récompense. La nausée disparut instantanément et les yeux d’Isabelle se mirent à briller. Soudain, l’idée lui paraissait beaucoup moins répugnante. — Qu’en penses-tu ? Tu es libre de refuser. Cela ne signifiera pas ton départ. Je te donne vraiment libre décision.— J’accepte, répondit immédiatement Isabelle.— Tu peux prendre le temps d’y réfléchir, annonça-t-il.— C’est tout réfléchi, c’est oui. Le noble la regarda en souriant puis lança : — Vide donc ta vessie avant le jeu, ça t’évitera de perdre tes gains après. Je le fais appeler. Isabelle apprécia l’offre et se libéra pendant que le noble tirait sur une cordelette près de son lit. Un serviteur arriva rapidement et le noble lui parla en dehors de la chambre, hors de portée des oreilles d’Isabelle. Alors qu’ils ...

... attendaient la venue de l’invité-surprise, le noble demanda à Isabelle se mettre en parfaite position à genoux, offerte à l’homme qui allait entrer, les yeux baissés. Elle n’eut pas longtemps à attendre. Regardant le sol, elle ne vit pas la réaction du duc en la voyant nue, à genoux, les jambes à moitié écartées, les mains dans le dos, les yeux posés sur le sol. — Entrez, mon ami, dit le noble.— Merci, Majesté, dit le duc. Isabelle sursauta. Elle avait déjà entendu cette voix. C’était celle d’un des trois nobles l’ayant malmenée dans le couloir. Elle leva les yeux pour vérifier et reçut immédiatement une claque du seigneur des lieux. — Personne ne t’a permis de lever le regard.— Pardonnez-moi, mon seigneur et maître, répondit Isabelle en baissant les yeux. Elle n’avait pas eu beaucoup de temps, mais largement suffisamment pour confirmer de ses yeux ce que ses oreilles lui avaient annoncé. C’était bien lui : le duc Baldin. Isabelle n’apprécia pas beaucoup, mais se refusa à demander le départ du duc. Elle ne pouvait pas laisser passer cette occasion en or – c’était le cas de le dire. Elle garda donc son calme. Le duc s’approcha et la caressa. — Qu’avez-vous envie de faire, Majesté ? Demanda le duc Baldin.— Pour le moment, j’aimerai vous voir vous amuser avec elle.— Volontiers, Majesté. Le duc ne se le fit pas dire deux fois. Il joua longuement avec la poitrine d’Isabelle, n’hésitant pas à maltraiter ses tétons durcis puis ses mains descendirent sur son ventre et sur son intimité. — ...