1. ma découverte du candaulisme, ma femme me trompe avec mon meilleur ami (2)


    Datte: 05/10/2017, Catégories: Hétéro

    ... l’incroyable trique. Je remarque sur son visage, son regard trouble rivé sur cet axe magnifique et surtout, ses lèvres entrouvertes, prêtes à l’avaler. — Ah ! C’est trop bon ! Ouiiii, continue ! Antoine donne des coups de rein, portant au devant des lèvres luisantes de Sophie l’énorme gland violacé au contact de la bouche béante de ma femme, tentée d’emboucher la bite tendue. Sans interrompre pour autant ses caresses, elle me regarde en me suppliant, le regard vitreux de plaisir. — Je peux la sucer ? -Oui ! Vas-y, pompe son gros nœud ! Antoine n’attendait que ça et d’un ample mouvement du bassin, il pousse le dard congestionné entre les lèvres gourmandes de ma femme ! J’ai vu alors Sophie plonger sur cet énorme sucre d’orge, s’efforçant d’en enfoncer le plus possible dans sa bouche. Je ne compte plus pour elle, elle est submergée par le plaisir qu’elle prend à s’enfoncer profondément la teub enflée. Sa bouche distendue tente d’en avaler le plus possible, dans un bruit de succion et de gargouillis, bavant et crachant sur le phallus d’Antoine. Mordillant le gland hypertrophié avec précaution. Je suis troublé, je suis là à regarder ma femme, l’être le plus cher pour moi, le plus intime, en train de tailler une pipe magistrale à mon meilleur copain! Quelle sensation étrange ou se mêle jalousie, envie, rejet, plaisir! Je n’aurais pas cru jouir autant à l’observer ainsi,sa bouche pleine du sexe d’un autre! Je l’encourage de la voix. — Oui, ma chérie ! Avale-là ! Bouffe-la toute ! ...
    ... Mords-là ! Antoine rigole et surenchérit : — Tu es une sacrée pompeuse, allez, essaie d’en prendre encore un ou deux centimètres, je suis sûr que tu peux le faire ! Il lui met une main sur la nuque pour qu’elle ne puisse se retirer et réussit à pratiquement entrer 5 centimètres de plus de son rostre mais doit la libérer avant qu’elle ne s’étouffe, la gorge obstruée par son gland volumineux. Elle tousse, reprenant lentement son souffle. Je me suis approché, glissant ma main entre ses cuisses jusqu’à sa chatte brûlante. Mes doigts pénètrent dans sa fente trempée de mouille. Ma caresse fait de l’effet, car elle se déchaîne de plus belle sur le gros dard tendu. Je l’injurie presque en la branlant frénétiquement : -Espèce de salope, tu aimes les grosses queues on dirait, bouffe-lui ses couilles, fait-le jouir ! Elle m’obéit et gobe ses grosses boules. Elle s’interrompt soudain et me lance comme dans un défi: — Qu’elle est grosse, CA c’est de la queue ! Vexé par sa réflexion, je la saisis par les hanches et enfonce sans résistance ma bite dans son petit con baveux. Bon sang comme c’est bon ! Je me déchaîne tellement je suis excité de la voir prise par nos deux queues. Je pilonne sans ménagement la chatte douce et chaude de ma garce de femme qui dégouline de mouille. Je la secoue tellement, qu’elle a arrêté de le sucer, accrochée de ses deux mains à l’énorme pieu collé contre son visage. Elle gémit de plus en plus fort. Antoine en profite, il lui caresse les fesses, les écarte de sa ...
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