Promenons-nous dans les bois - Histoires de Sexe

Promenons-nous dans les bois

... chatte. Je dirige une de mes mains vers cette bite qui m’a tant donné et la plaque contre mes lèvres gonflées par l’orgasme. Je la frotte contre mon clito. De la cyprine coule encore de ma chatte. L’inconnu me prend une main et me fait masser ses bourses, alors que dans un râle d’extase il éjacule de deux longs traits de sperme qui zèbrent mon ventre et mes seins… Quel dommage que je ne puisse voir son visage ! Il se penche et m’embrasse moins fougueusement qu’avant, épuisé, alors que doucement je masse sa verge d’où perle une dernière goutte de semence que je prends entre mes doigts et porte à mes lèvres pour goûter à mon bel inconnu. Il finit doucement par s’éloigner. Sans plus attendre, Marc m’aide à m’accroupir devant lui et se relève. Je commence par le branler en lui léchant les bourses avant de le prendre en bouche. Le goût de ma cyprine sur sa queue lui donne un goût suave. Je masse ses couilles d’une main alors que mon autre main descend caresser mon bouton de plaisir profitant des reliquats de mon extase. Je sens Marc prêt à exploser. Je veux qu’il ait un orgasme aussi fort que celui qu’il m’a permis d’avoir ce soir. Mes mains cramponnent ses fesses, les massent, les écartent… Doucement, je pénètre son petit trou d’une phalange couverte de ...

... mouille, elle glisse facilement en lui… Avec la moitié d’un doigt dans son cul, je commence à le titiller tout en continuant ma fellation. Il va jouir. Je le sens vibrer de tous ses muscles. J’entends sa respiration. Haletante. Forte. Ses gémissements se font fauves… Soudain, il tire mes cheveux en arrière inclinant mon visage sous sa queue… J’ouvre la bouche en grand pour recevoir sa semence. Lorsque son anus se contracte autour de mon doigt, des jets de sperme strient mon visage et finissent sur ma langue tendue… Je retire mon doigt de sa rondelle et masse ses testicules doucement tout en reprenant son phallus en bouche pour lui pomper ses dernières gouttes de foutre. Après quelques secondes où seules nos respirations saccadées et gémissantes sont audibles, Marc se penche et m’embrasse tendrement. Il me retire doucement le bandeau des yeux. Il n’y avait plus aucune trace de l’inconnu. Nous nous regardons tous les deux avec un grand sourire… Épuisés. — Je ne saurais donc pas qui était cet homme ? Il me répond par un sourire énigmatique. Nous nous allongeons, blottis l’un contre l’autre, à l’arrière de la voiture où nous commençons à somnoler, en savourant cette torpeur qui arrive après tant d’efforts. Au loin, j’entends une moto démarrer que je crois reconnaître…