1. Aziz, ma femme et moi


    Datte: 10/07/2020, Catégories: Anal Hardcore, Gay

    ... d’année. Ses 90kg, environ, pour un mètre soixante-dix à peine dépassée, indiquent qu’il ferait bien de s’occuper à faire un régime et un peu de sport, plutôt que de m’emmerder. Il semble soulagé de m’avoir empêché de pousser la porte. Je déteste les débiles qui couvrent les très grosses conneries des petits pédés qui baisent ma femme.- Oui, je vais voir ce que t’as en stock là derrière. Y a ton collègue là-dedans qui pourra me renseigner.- Je travaille seul ici monsieur, je n’ai pas de collègue. Le stock n’est pas ouvert au public, mais vous trouverez des échantillons de tous nos produits en rayon. Si quelque chose vous intéresse, j’irai chercher votre taille pour...- Rien à foutre ! Y a ma connasse de femme là-dedans, et je vais aller la voir cette pétasse ! Et je vais défoncer la gueule de ton connard de pote, connard !J’explosais. Je n’en pouvais plus. Il me prenait pour un con, ma femme me prenait pour un con, et un mec me prenait pour un con en se tapant ma femme, là ça allait chier. Il n’avait pas intérêt à me chercher l’autre corniaud. Je me retournais et mettais ma main sur la poignée.- Il n’y a rien à voir là-dedans, et c’est mon magasin ! Sortez !Il m’avait tiré en arrière. Assez fort pour que je recule, pas assez pour me faire tomber. Il voulait juste me forcer à sortir : il n’était pas assez agressif. Je lui envoyai mon poing à la figure. Il recula sa tête, insuffisamment pour m’échapper, mais le coup fut amorti. J’atteignais son œil.- Aïe ! Mais il est taré ce ...
    ... type !Je lui assenai un second coup dans la poitrine, et un troisième dans les côtes gauches. Il reculait à peine, j’y avais pourtant mis de la force. Il me regarda d’un air méchant.Avant qu’il n’esquisse un geste, je propulsai de nouveau mon poing droit vers son visage. Je touchais sa joue. Mon bras ne bougeait plus. Il tenait mon avant-bras dans sa main. Je n’eus que le temps de voir son regard déterminé, avant de recevoir moi-même un coup sur la pommette. Ma tête fut emportée par le choc, propulsée dans les jeans ; déstabilisé, je fus projeté en arrière dans d’autres vêtements. Une barre reçue dans le dos me coupa le souffle. Je ne pensai pas même encore à me relever que déferlait sur mon visage une véritable cascade de coups. Bientôt, je ne vis plus rien.Je me réveillais bien difficilement, la bouche pâteuse, avec un léger goût de sang. Je découvrirais quelques minutes plus tard que cela venait de deux dents cassées. Moi qui n’en avait jamais perdu, ni au rugby, ni dans une bagarre de bar… La salle est médiocrement éclairée. J’ai quelque peine à respirer, l’air est chargé de poussières. J’ai froid. Je sens du carrelage sous mes cuisses allongées. Elles sont nues. Mon torse aussi. Il ne me reste qu’un modeste caleçon.Je sens une barre dans mon dos, et des liens enserrent mes poignets et mes coudes. Je force, mais reste solidement attaché. Encore un peu groggy, j’abandonne le temps de retrouver tous mes esprits. Et un peu de hargne, peut-être, aussi. Pour l’instant, je suis ...
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