1. La convalescente


    Datte: 13/07/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... c’est ‘et baiser’ ? - Non chéri, pour l’instant je me contenterais de toucher - Et te faire toucher sans doute ? - Seulement si tu y consens - Ce soir prépare-toi pour une petite sortie nocturne - Je mets une culotte ? - Inutile, il fait chaud habille toi léger, si nous ne voyons personne c’est moi qui prendrais ma chaudasse le long d’un arbre - Chic ! a ce soir chéri - N’oublie pas ta gélule - Certainement pas ! Nue sous une robe boutonnée devant c’est ainsi que nous nous somment rendus dans les parcs où certains recoins sont réputés très hot, blottie contre mon mari qui me palpe une fesse en marchant d’un pas lent, a voir sa braguette de short gonflée il n’a certainement pas mis de slip, son sexe peut se développer sans contraintes - Allons par là, c’est bon il fait clair de lune, n’ai pas peur si tu vois un ou des hommes sortir des lauriers la bite a la main - Je n’ai pas peur - Tu es excitée ? - Ça commence … - Je peu avoir la primeur de toucher ? - Si tu veux Adrien, je te dois bien ça - Je dois te faire un aveu... - Lequel ? - Avant de venir j’ai pris une de tes gélules - T’es sérieux ? - J’ai l’impression qu’elle me faite effet, je bande et j’ai envie de baiser n’importe quoi et n’importe qui - Assoyons-nous sur ce banc - Déboutonne ta robe jusqu'à la taille et ouvre les genoux…. Mmmuuuuummmmmmmm, que tu es bandante ! - Tu aurais dut t’en apercevoir avant non ? - Je suis d’accord et je fais mon mea-culpa, blottie toi contre moi je te dirais si des gars se manifestent ...
    ... Je sens sa queue donner des coups sous ma main, je dois faire des efforts pour ne pas lui sortir du short et me la mettre dans le minou, soudain j’entends en même temps que mon mari des crissements de pas sur les graviers - Ils arrivent... ne bouge pas laisse moi dégager ta robe sur tes seins pour les appâter - Je mouille d’impatience mon amour - Ils sont en face dans l’ombre, que veux-tu faire ? - D’abord les regarder se branler - Je distingue des mains qui s’agitent... - Combien ? - Trois il me semble, traverse l’allée - Tu me protège hein ? - A toi de prendre les risques que tu désire, je n’interviens qu’en cas de brutalité - Ça va j’assume, ne me perd pas de vue surtout Je me retourne face a mes voyeurs, ils sont ‘acceptables’ sans plus, ma robe est toujours dépattée jusqu’à mon nombril, ma chatte est parfaitement éclairée par la lune, effectivement je vois des mains manipuler des verges dont je ne peux évaluer les mensurations a cette distance, malheureusement les mouvements cessent face a ma présence déterminée, pour les rassurer je passe lascivement une main entre mes cuisses, je fais un pas, l’un d’eux reprend sa masturbation, très vite suivit par ses potes, j’avance pas a pas, il me reste trois mètres a faire, suffisamment pour voir distinctement les manches décalottés en cadence - Restez sage et je viens prés de vous - Ton mec n’est pas jaloux ? - Mon mari veut simplement assister - Montre-toi … ouvre ta robe et nous recommençons a nous branler - Voilà … Les deux ...