1. audrey


    Datte: 14/07/2020, Catégories: Anal Masturbation Première fois

    ... n’étaient jamais en l’air. Après un instant de réflexion, j’achevai de retirer ma cravate et m’en servi pour nouer les poignets d’Audrey entre eux, les maintenant solidement dans son dos. Je reculai de quelques pas, pour observer le résultat.Les paupières d’Audrey étaient closes. Ses lèvres pulpeuses s’étaient légèrement entrouvertes. Sa poitrine, sans doute durcie par le plaisir d’être attachée, effleurait, encore en plus, son genou droit. Elle semblait jouir de la situation, faisant aller ses cuisses l’une contre l’autre dans une caresse que je sentais osée. Audrey, pour me l’avoir expliqué un jour, parvenait régulièrement à se faire jouir de cette façon, sans l’aide de ses doigts, par simple frottement.J’aurais été un fieffé menteur pour prétendre que la scène me laissait totalement indifférent. Audrey était dans une posture alanguie, s’assenant des caresses par tout son corps, goûtant de son plaisir à chaque instant. L’érotisme de tout son être me fit cruellement sentir combien j’avais Audrey dans la peau. Du bout des doigts, je lui effleurai la bouche, tentant de ne pas l’interrompre. Ses lèvres s’entrouvrirent, me sucèrent, me mordillèrent. Dans le même temps, mon sexe prit des proportions indécentes sanglé sous mon pantalon. Je le déboutonnai et en sorti le pauvre membre comprimé. J’en dirigeai la tête humide vers les lèvres d’Audrey qui me cherchaient déjà. Sa langue se montra aimante et avide de mon gland. Le temps d'exciter tous mes sens, les yeux toujours à demi ...
    ... clos, elle enfonça ma queue plus profondément dans sa bouche, ses cheveux se mêlant parfois à ses soins.Je résistai peu de temps à autant de volupté de la part de cette femme si jeune et si belle. Son innocence mêlée du sens inné des secrets de l’amour m’avait déjà étonné à plusieurs reprises. Audrey, ne m’ayant plus à sa portée, rejeta ses épaules en arrière. Ses cuisses s’offrirent naturellement à moi avec tout le manque de pudeur qui la caractérisait parfois. Une profonde impulsion me guida jusqu’à son mont des plaisirs dans lequel ma bouche, assoiffée de désir, goûta goulûment son antre liquoreuse. Une fois le manque insatiable comblé, ma langue consentit à prodiguer des caresses plus précises, montant puis descendant le long de son sillon que je maintenais au bord de la noyade.Audrey était à ma merci, ligotée dans le dos. J’avais pour projet de la faire jouir jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus et me supplie d’arrêter. Ma bouche indécente enfouie au creux de ses reins, je me berçais de ses gémissements humides et comptabilisais les déferlantes de ses orgasmes. Toute tremblante, Audrey ne parvenait plus à récupérer, j’étais peut-être allé trop loin.Soulevant Audrey par le bassin, arc-boutée, je lui remontai sa robe, qui me gênait tant, sur les hanches. Audrey tressaillit quand ses fesses mises à nues rencontrèrent la froideur de l’escalier. Je choisis cet instant pour la pénétrer en une seule fois, de mon sexe trop raide. Son souffle fut brutalement coupé. Elle eut une ...