Véronique au bureau (5)
Datte: 15/07/2020,
Catégories:
Lesbienne
Alors qu’Ana venait de refermer la porte et de quitter l’agence en compagnie forcée de Fauve, Véronique, elle se posait des questions. Comment se faisait-il que quelques heures auparavant, Ana était très amoureuse et surtout, décidée à mettre en échec Fauve, et qu’à cet instant, sans l’avoir prévenu plus tôt, elle ne pouvait pas rester ??? Fauve !!! Fauve est derrière tout ça !!! Véronique, d’un bon, quitta son bureau, pour éventuellement, les suivre. Mais cela fait dix minutes qu’elles sont parties, et dans quelle direction ??? Peine perdue, à cet instant, Véronique savait qu’elle ne passerait pas sa soirée dans les bras d’Ana. Déçue, elle quitta l’agence, sans même, vérifier si Sabine était là, ou pas. Au point d’en avoir oublié, sa voisine Virginie, vous savez, la petite blonde, qu’elle avait pu mater la nuit dernière. Se faisant sauter par son étalon, dans l’encoignure de la porte-fenêtre du salon, pendant que Véronique, elle, se masturbait, en réponse à leurs exhibitions. Alors qu’elle se trouvait perdue dans ses idées, durant le trajet en bus, assise au fond. Une voix féminine vint la faire revenir à la réalité. — Excusez-moi, je peux m’asseoir ?? Véronique, qui avait son regard vers l’extérieur, tourna la tête vers sa gauche. Comme le hasard fait bien les choses, la jeune femme qui s’était assise à ses côtés n’était ni plus ni moins, Virginie. — Oh, excuse-moi, je ne t’avais pas reconnu, dit Virginie. — Pas de mal, ma chérie, lui répondit Véronique. Quel hasard !!! — ...
... Oui, tu prends régulièrement ce bus ??? Demanda Virginie, qui, lui avait posé sa main droite sur le haut de sa cuisse, sur l’aine de sa cuisse. — Oui, tous les jours, mais généralement, un peu plus tard, et toi ??? Demanda Véronique, après un rapide coup d’œil sur cette main. — J’avais une course à faire dans le quartier... David est de garde pour la soirée... Nous pourrions peut-être prendre du temps pour nous ?? Demanda Virginie. — Pourquoi pas !!! Répondit Véronique, qui profita du regard, pour la déshabiller. Virginie portait un chemisier blanc, lui voilant tout juste son soutien-gorge en peau d’ange, blanc, pour une petite, mais ferme poitrine, jupe droite, courte, en jean, boutonnée par des pressions, escarpins blancs. Son physique était à la hauteur de sa tenue, une petite coquine en chaleur. Les deux jeunes femmes se regardèrent, sans un mot, envieuses des yeux, elles se dévorèrent, de longues minutes. — Que dirais-tu de se faire un peu de shopping ?? Lui demanda Virginie. — Je n’ai pas envie de rentrer, donc ce qu’il te plaira sera à mon goût... Dit Véronique, ayant une chaleur ardente, au plus profond de sa petite culotte. — Tu sais que j’ai mon ventre qui me brûle... Lui souffla à l’oreille, Virginie. — Et moi donc, ma chérie, je suis trempée... Lui répondit Véronique. Virginie se leva d’un bon, prenant par la main sa nouvelle amie, et l’entraîna à elle, pour descendre, alors que le bus venait de s’arrêter et ouvrir ses portes. Véronique eut tout juste le temps de ...