1. Anne offerte aux amis par son mari candauliste ses aventures (5)


    Datte: 16/07/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... râle...Je suis son jouet. « OUI, d’accord, Brice, d’accord, on dira rien à personne … » Il est RAVI !!!! Il m’a remise à quatre pattes sur la table cul offert, vers la fenêtre, il me lèche entre la raie des fesses, mouille ma rosette, enfonce son pouce comme une bite, Je jouis encore. !! « Demain, chienne blanche, demain, je t’offre à mes potes, tu vas connaître toute la Poste !! Tu es à moi, tu seras qu’une chatte, une bouche, un cul, à prendre. Je te donne à qui je veux. » « Demande Anne, dis: Oui je veux, s’il te plaît Brice !! » « OUI, fais les venir, s’il te plaît OUI, tu me baiseras, je te demande de me baiser Brice, Je veux sentir ta grosse bite dans ma chatte, profond, que tu me défonces, je t’en supplie, je sucerai tout le monde, toutes les bites, je donnerai un beau spectacle, POUR TOI » Si tu veux du fric pour toi, Je suis ta pute, je leur demanderai, pour te faire plaisir » Il crie de joie : « Enfin Anne, enfin !! Je vais te vendre mais après, d’abord tu seras gratuite. » Il claque mes fesses, assez fort, je tends mon cul en avant pour mieux m’offrir. (Il a pris l’habitude de me fesser légèrement, ça l’amuse, un ...
    ... rituel..). Il crache encore, un jet, je m’empresse de boire de suite. C’est « son désir » que je me précipite dessus, je suis à quatre pattes, je ne peux pas me servir de mes mains. Je bave de tout son jus. « DEMAIN, vers midi, prépare tout, champagne, alcool, gâteaux, comme pour Jean Paul. Tu te parfumes beaucoup. Tu dois sentir bon à 2 mètres ! Tu restes habillée, sans slip, sans sous tif, mets une mini jupe souple, un corsage transparent, tes chaussures à talons hauts, tes bas qui tiennent tous seuls. J’ai des surprises… ! » jtyjaaxk « OUI, comme tu veux, ils seront beaucoup ? » « TU VERRAS BIEN !! vicieuse, SOIS prête c’est TOUT ! » La vérité apprise après : la mission de Brice était d’obtenir assurément que je me laisse baiser facilement, sans jamais discuter, en dehors de la présence de mon mari ou de Monsieur Jean Paul. (je pensais le faire en cachette, alors que tout le monde le savait ! ). Pour ça, il fallait des hommes différents, provoquer ma « générosité » naturelle. Enfin me préparer pour l’étape suivante, les camionneurs de NENESSE… Cela me rendra totalement obéissante, irrémédiablement approbatrice de presque tout. 
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