-
Étudiant chez l'habitant (7)
Datte: 16/07/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... commençait à déborder. Mon flux s’arrêta peu après. Laurence versa la cuillère dans la tasse et tendit cette dernière à Danielle : — Voilà pour toi ma chérie, la mienne maintenant ! Je la vis remettre une deuxième tasse et la cuillère sous ma queue. — En principe, il ne s’est pas totalement vidé, n’est-ce pas mon grand ? Il t’en reste encore de la bonne crème tiède pour ta Lolo ? Allez, on continue ! La sensation était bizarre, j’avais joui certes, mais pas complètement, j’étais encore excité, ma tige toujours tendue. Ses gestes sur ma verge reprirent. Mon « calvaire » également... Mathilde n’en perdait pas une miette. Devant mon air implorant, Danielle dit alors à son amie de me laisser me vider entièrement. Celle-ci, à regret, me branla alors énergiquement pour faire sortir une quantité conséquente de sperme qui s’étala en giclées dans la cuillère et la tasse. Jamais je n’avais joui de la sorte lors de mes plaisirs solitaires, j’étais vanné. Laurence vidait la cuillère dans sa tasse lorsque Mathilde protesta : — Eh bien moi alors, j’ai pas l’droit ! Laurence lui tendit la petite cuillère : — Les dames d’abord quand même ! Mais t’inquiètes pas, toi tu as le droit de lécher la cuillère petite gourmande ! Elle l’attrapa et la porta directement à sa bouche. Elle la léchait comme une sucette poussant des petits « humm » de contentement. Les deux femmes, après m’avoir embrassé la joue allèrent s’asseoir dans le canapé emmenant avec elles leurs tasses aromatisées. Je descendis ...
... chancelant de la table, mes jambes me portaient à peine et je ne sentais pour ainsi dire plus du tout mon sexe. C’est comme si je n’avais plus rien entre les jambes ! Je cherchais Mathilde du regard. La cuillère toujours à la bouche, elle avait rejoint sa mère et son amie au salon. Elle s’était assise sur le fauteuil face à elles et écartait largement les cuisses pour leur dévoiler son intimité. Je vins m’asseoir près de Danielle. Je regardais sa fille qui avait retiré la cuillère de ses lèvres et frottait désormais le dos de celle-ci sur savulve entrouverte. Elle semblait apprécier cette caresse qu’elle interrompait en ramenant régulièrement l’ustensile à sa bouche. Laurence l’observait en sirotant son café : — Tu sais quoi ma Dani, eh bien ta fille est encore plus coquine que toi ! Ah ça pour sûr, la relève est assurée, hihi ! — Oui c’est vrai, qu’elle assure ma petite chérie ! N’est-ce pas Jérémy ? Je ne disais rien, j’étais subjugué par l’adorable frimousse de sa fille et son rire enfantin face aux remarques des deux femmes. Mes sentiments pour elle étaient confus. Au désir que je lui portais c’était ajouté une sensation jusqu’alors inconnue de moi. — Il n’est plus avec nous je pense ! Je crois que notre petite séance de traite l’a épuisé ! Ah ah ! Ça vous a plus à vous au moins les filles ? — Ah c’est sûr que ce n’était pas commun ! Répondis Danielle. Mais si tu n’es pas pressée, reste donc à l’apéro ce soir ! Quand Jean-Paul sera rentré on vous préparera notre spécialité ! ...