1. La halte routière


    Datte: 17/07/2020, Catégories: Anal Hardcore, Gay

    Hiver 1981, j'ai 32 ans. Je vis avec une femme depuis 8 ans. Comme toutes les histoires d'amour ça commence avec la passion et ça s'estompe peu à peu. Ma vie sexuelle est un peu morne. J'ai toujours la passion des queues en moi. En fait, je n'ai pas eu d'aventure homo depuis des années.Je me masturbe souvent avec mes souvenirs de jeunesse. Bon sang! Que j'en ai sucé des queues et je réalise que ça me manque parfois. Mais, j'aime beaucoup les femmes, en plus le sida commence à faire des ravages. Donc l'abstinence est de mise.Je suis sur la route et je me rends à un congrès à Toronto. Je pouvais y aller en avion mais j'avais tout mon temps, et passer du temps avec moi-même me plaisait. Je souhaitais quand même embarquer un auto-stoppeur, on se sait jamais. Mais ce n'est pas arrivé. Je me suis rendu à mon hôtel à Toronto, ville que je déteste. Jamais rien à faire dans cette ville de puriste.Le congrès attire bien du monde, les putes surtout. Belles femmes certes mais dispendieuses. Comme je fais souvent dans ma chambre d'hôtel après avoir bu quelques verres avec des confrères, je me fous à poil et je me regarde bander dans le grand miroir. Je me caresse, je regarde mes fesses, qui sont encore imberbes et bien rondes. Je me masturbe un peu, je me couche et je me mets en boule et je continue ma masturbation au-dessus de mon visage. Aujourd'hui j'aurais de la difficulté à faire cela. Je vois mon gland surgir de mon long prépuce, j'ouvre la bouche et j'éjacule. Je reçois de mon ...
    ... sperme au visage et dans ma bouche. J'avale mon sperme et j'aime ça.Je me déroule de mon athlétique position et je continue ma masturbation. Je récupère du sur sperme sur mon visage et je le mets sur mon anus et je m'enfonce un doigt bien creux. J'éjacule de nouveau. Je me dis: « Me voilà comblé pour deux jours!»Le congrès se poursuit, les soupers se succèdent, mes masturbations se poursuivent dans l'intimité de ma chambre. Au bout de la semaine, le congrès était pour se terminer. J'ai donc décidé de partir dans la soirée au lieu du lendemain. Je voulais faire une surprise à ma copine et peut-être aussi de la baiser. Le roule donc vers Montréal et je devais y être vers les dix heures. Heure parfaite pour la baise.C'est l'hiver et les routes sont un peu glacées, je ne dois pas excéder les limites de vitesses. Ça va être long c'est 600 kilomètres. Au bout de deux heures, je vois une halte routière. À l'époque les haltes routières étaient juste une grosse cabane avec des toilettes pour hommes et pour femmes d'un côté. Pas de restos, juste des machines distributrices et même chose pour le café. La halte était construite entre les deux autoroutes. Il y avait un large parking pour les camions et souvent les camionneurs s'y arrêtaient pour dormir. Mais là, il était trop tôt, le parking était désert.J'entre dans la toilette pour hommes. Je suis seul. Il y a des urinoirs et des cabines. Je préfère les cabines car avec mon long prépuce, j'aime bien m'essuyer proprement et assécher mon ...
«1234...»