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Poker Candauliste - 2
Datte: 17/07/2020, Catégories: Partouze / Groupe
Olivier lui répond : — Oui, c'est tout à fait ça. Nous ne sommes plus que deux à pouvoir remporter le gros lot, si je puis dire... Gwen s'adresse à Marc : — Mon pauvre, c'est vraiment dommage ; le tirage des dés était vraiment intéressant. Mais ne t’inquiète pas, je suis persuadée que tu auras d'autres occasions de te rattraper dans la soirée. Elle retourne finalement la carte, et le verdict tombe : deux de pique ! Olivier bondit de sa chaise. Gwen le regarde avec un grand sourire et l'applaudit, puis elle me regarde et me dit d'un air faussement déçu : — Oh, comme c'est dommage, mon chéri, tu as failli gagner... Mais bon, tu les connais déjà par cœur, mes jambes, tandis qu'Olivier... Marc semble terriblement déçu de passer à côté d'une telle récompense, un peu comme un petit garçon qui arriverait au pied du sapin le jour de Noël et ne verrait aucun cadeau pour lui. Par contre, Olivier arbore un large sourire. Il prend déjà les choses en main : — Gwen, assieds-toi sur la table, que tout le monde profite du spectacle. Elle obtempère sans dire un mot. Olivier vient se placer en face d'elle, écarte un peu ses jambes, pose ses mains sur ses cuisses et remonte un peu sa robe. Il appuie un peu sur une de ses épaules pour lui faire signe de s'allonger sur la table. Elle obéit et se hisse au milieu de la table, les talons de ses escarpins posés juste au bord. Olivier lui remonte encore sa robe jusqu'à la taille. Ma conjointe soulève un peu les fesses pour lui faciliter la tâche. ...
... Marc en a profité pour se lever et venir se placer derrière Olivier, à sa gauche pour bien profiter du spectacle. Je fais pareil et viens m'installer à sa droite. Gwen s'offre de manière indécente. On a une vue imprenable sur sa culotte blanche en dentelle qui ne cache pas grand-chose de son intimité. Olivier se penche et commence à lui lécher la cheville. Je bande terriblement, complètement excité par la situation. Je regarde brièvement Marc qui n'en loupe pas non plus une miette ; je me rends même compte qu'il masse légèrement la protubérance qui déforme son entrejambe. Cela me rend encore plus dingue, et sans aucune gêne je me mets à faire comme lui. Mes yeux oscillent entre le visage d'Olivier qui remonte doucement le long du compas de ma femme et celui de Gwen qui semble apprécier ces caresses. Olivier lèche maintenant l’intérieur des cuisses de ma compagne, passant d'un côté à l'autre. Il la goûte de plus en plus voracement et en profite même pour faire une entorse au gage et caresser ses mollets avec ses mains, mais personne ne proteste : tout a basculé, et je crois qu'il ne sera désormais plus possible de faire machine arrière. La langue d'Olivier continue d'arpenter les jambes de Gwen ; il arrive maintenant sur la lisière de ses bas. Son visage est tout près de son sexe. Ma queue est de plus en plus à l'étroit dans mon pantalon. Ma femme commence à se laisser aller ; je vois sa langue humidifier le contour de ses lèvres. Sa respiration se fait plus bruyante. Sa main ...