La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 597)
Datte: 18/07/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°596) - L’esclave MDE était réveillé depuis déjà quelques minutes, il attendait sagement couché à même le sol, que sa queue veuille bien le laisser tranquille. Il n’y avait vraiment pas suffisamment d’espace dans cette cage pour que sa nouille puisse s’épanouir à son gré, la fine tige métallique enfoncée dans son urètre lui apportait aussi des sensations étranges, jamais vécues jusqu’ici, et c’était peut-être cet instrument, ou tout au moins son ressenti qui provoquait à la fois, cette délicieuse et douloureuse bandaison matinale. soumis Endymion MDE avait de bien belles images en tête, ce matin à son réveil ! Il se remémorait son arrivée au Château, sa première rencontre avec le Maître, il repensait à tout ce qu’il avait vécu depuis qu’il était entré en esclavage auprès de Monsieur le Marquis d’Evans. Il était entré à Son service, un peu comme un homme d’église entre en religion ! Il avait un sentiment étrange, voire paradoxal. Alors qu’il était enfermé, tenu enchainé, il se sentait étonnamment libre… Etrange aussi, cette citation de Jean Louis Barrault qui lui revenait subitement en tête : « La liberté, c’est la faculté de choisir ses contraintes » ou encore celle-ci de Jules Michelet : « La liberté, c’est l’homme, même pour se soumettre, il faut être libre, pour se donner, il faut être soi » … Et donc avec ce fort sentiment paradoxal, ce matin alors que soumis Endymion MDE aurait dû se sentir accablé, ...
... abasourdi, anéanti, il se sentait libre, parce qu’il savait ce dont il était capable, ce dont il avait envie, il savait qu’il pouvait dépasser ses propres limites pour atteindre ses buts et satisfaire Le Maître. Il prenait conscience que seul, il n’y serait jamais parvenu, qu’il avait eu besoin d’un miroir pour se voir tel qu’il était. Et encore, ce miroir ne suffisait pas, il fallait aussi une énergie, un soutien, un regard objectif pour avancer. Et ce regard-là, n’était autre que celui du Maître, ce regard parfois sévère et froid, parfois compatissant, toujours d’un bleu profond mais surtout Dominateur, faisant accepter à Son chien soumis ce qu’il était, ce regard analysant les forces et les faiblesses de Son esclave, un regard pugnace, pour lutter contre les réticences, un regard patient pour vaincre les doutes, un regard opiniâtre pour résister à d’éventuels découragements. Oui, Monsieur le Marquis d’Evans avait été capable de conduire soumis Endymion MDE sur ces chemins difficiles, fait de grandes satisfaction, mais aussi de tâtonnement, de déception, d’incertitude, d’abattement parfois, mais quel bonheur aujourd’hui pour le chien-mâle soumis MDE de se sentir plus fort, plus déterminer, d’être là, contraint, enfermé dans cette geôle pour corriger encore ses défauts, ses faiblesses, pour se faire dompter un peu plus encore, selon la Volonté du Maître. La sirène venait de se mettre en branle… son sifflement strident aurait réveillé un mort, la « slaverie » était en effervescence : ...