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Gustaw le vigile ( suite )
Datte: 19/07/2020, Catégories: Partouze / Groupe
Gustaw, sa sœur et moi. Les fêtes de fin d’année sont passées et nous nous sommes gâtés. J’ai offert à mon mari Guillaume la combinaison de plongée dont il rêvait depuis l’été. Quant à moi, j’ai reçu deux splendides ensembles de lingerie fine que nous apprécions l’un et l’autre. Souvent Guillaume, lorsqu’il me déshabille le soir avant de nous coucher, me dit combien je suis excitante dans ces belles tenues qui mettent ma jolie silhouette en valeur. Mais cet après-midi, j’ai des heures de libres à mon boulot aussi, je quitte le bureau et je me rends à la grande surface où le vendredi d’avant Noël je me suis copieusement fait sauter par ce vigile polonais beau comme un dieu, endurant et doté d’une bite et d’une paire de couilles phénoménales. Pour me donner une contenance, je fais quelques achats puis je vais rôder vers la porte de service qui, une fois franchie, débouche sur les ascenseurs conduisant aux réserves. C’est là que Gustaw m’a entrainée, me conduisant dans un immense hall situé sous les toits où sont aussi aménagés les locaux de repos des vigiles. Soudain la porte roulante s’ouvre et je le vois apparaître comme par enchantement : - Je t’ai vu déambuler dans le magasin en te suivant sur les caméras de surveillance et je me doutais que tu viendrais rôder jusque là ! Tu vas bien ? - J’avais peur que tu ne sois pas là ! - Ah bon ? Pourquoi ? Tu as encore envie de te faire sauter ? - Oui ! J’ai repensé à ce que tu m’as dit à propos de ta sœur ! - Viens, montons au 8ème ...
... et je vais voir si elle peut venir ! Elle est vendeuse au rayon lingerie ! Dès que nous sommes dans l’ascenseur, Gustaw m’enlace et me plaque contre lui : ce salaud bande déjà ! Je sens sa bite se loger contre mon pubis au travers de nos vêtements. Il me fait un clin d’œil, et se penche vers moi. Avant que j’aie pu articuler un mot, il écrase ses lèvres sur les miennes et enfonce sa langue dans ma bouche. J’accueille avec plaisir ce baiser envahissant. Çà a le don de m’exciter immédiatement. Je sens ma chatte devenir humide, les pointes de mes seins durcissent instantanément dans mon léger soutif. Je le repousse en disant : - Ouf, laisse-moi respirer... En me tenant par la taille, la main droite glissée sous mon manteau ouvert, il me guide vers la salle de repos où se trouvent déjà deux autres vigiles. Sur le coup, je suis un peu inquiète : Un partenaire, je veux bien mais s’ils s’y mettent à trois… je ne suis pas partante. Lorsqu’ils se lèvent après avoir regardé leur montre, ils s’esquivent en souhaitant bonne chance à Gustaw ! Ouf, nous ne serons que trois avec sa sœur qui, me dit-il, ne doit pas tarder à arriver après son coup de fil sur le réseau interne : - Galina sera là dans cinq minutes ! Mets-toi à l’aise ! Dès je j’ai quitté mon manteau, Gustaw fait passer par-dessus ma tête le sweatshirt fin qui ne tarde pas à se retrouver avec le manteau posé sur le dos d’un chaise puis il fait descendre le long de mes jambes le short que je porte par-dessus un collant fantaisie ...