1. Le mois d'aout , mois propice aux rencontres


    Datte: 19/07/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    J’adore ma ville au mois d’aout, elle se vide de ses habitants, je peux traverser la rue sans risquer de me faire écraser ! seuls les touristes arpentent les trottoirs Tous les soirs vers dix huit heures je descends au bar en bas de chez moi boire un demi bien frais profitant de la fraicheur relative, je sirote ma bière lorsque je vois arriver deux merveilleuses apparitions bien moulées dans un mini short d’où jaillissent de magnifiques cuisses bronzées, je rend hommage aux coutures qui contiennent solidement ces deux p’tits culs rebondis a souhait, deux petites blondinettes, rougies par le soleil et la chaleur, en sueur, portant un sac a dos aussi imposants qu’elles, l’air épuisées elles s’installent quasiment face a moi a la table voisine de la mienne et commandent une grande menthe a l’eau et deux pailles ! ce qui veux dire que les fonds sont en baisse, ça sent la fin des vacances Malgré leur français impeccable je distingue un fort accent soit Allemand soit Hollandais , l’une d’elle plus rousse que blonde arbore de jolies taches de rousseurs sur les pommettes et plus bas dans le sillon que forme ses seins dont le débardeur trempé de sueur n’abrite pas de soutien-gorge lui donnent un air mutin, l’autre pas moins jolie a l’air plus mûre, d’ailleurs c’est elle qui s’inquiète sur la suite a donner pour la soirée, étant donné la proximité je suis obligé de suivre la conversation - Tous les hôtels pas chers sont complets nous n’avons pas de quoi s’en payer un autre sinon nous ...
    ... ne pouvons plus acheter notre billet de train pour rentrer chez nous - Vivement que nous soyons rentrées tonton Koen me manque - Ooooh Erna ! ça peut attendre un ou deux jours non ? - Ouiiii….alors dormons dans un parc ou autre ? - Hélas je ne vois que cette solution Là, je me vois dans l’obligation de réagir, quitte à passer pour un mufle je me mêle à la conversation - Excusez moi mesdemoiselles j’ai malgré moi entendus vos propos, je vous déconseille vivement de dormir dans les parcs ou dans n’importes quels autres endroits peu sûr, en plus de cela de violents orages sont annoncés, si vous tendez l’oreille on perçoit déjà les grondements - Mon dieu qu’allons nous faire ? - Je peux peut être vous héberger pour la nuit mes petites, j’ai une chambre d’amis qui ne sert plus - Vous vivez seul ? - Hélas oui, je suis veuf, mais rassurez vous a cinquante ans je pourrais être votre papa - Qu’en penses-tu Erna ? - Je crois qu’ont peut lui faire confiance Gerda - De toutes façons nous n’avons pas le choix … si nous acceptons de vous suivre monsieur pourrions nous prendre une douche et laver quelques vêtements ? nous n’avons plus rien de propre, y compris nos petites culottes sur nous - Bien sûr, je vous laisserais le soin de remplir la machine à laver, par contre je ne peux vous proposer de vêtements de rechange a part des chemises à moi - Chez nous nous baladons nues mais par pudeur pour vous nous acceptons les chemises ! - Alors suivez moi j’habite a cent mètres, je suppose que vous ...
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