L'été de mes 18 ans 23
Datte: 19/07/2020,
Catégories:
Lesbienne
Joséphine était partante pour dévergonder Philippe. Nous mîmes au point un plan avec la complicité de Clotilde. Elle devait rendre visite à sa mère un week-end, laissant Philippe seul. Nous lui avions recommandé de se refuser à lui pendant deux semaines avant son départ pour qu'il ait très envie. Philippe, qui ne savait pas trop cuisiner, aimait aller diner dans une pizzeria juste à côté de leur logement. Comme par hasard, j'entrai dans la pizzeria alors qu'il commençait son repas. Je portais une robe très courte qui dévoilait mes jambes nues. Il me regarda approcher, une lueur dans le regard. Connaissant sa timidité, je lui demandai carrément si je pouvais m'asseoir à sa table. Il accepta l'air un peu gêné. Nous dimâmes en devisant de choses et d'autres. Je profitai qu'il regardait la carte des desserts pour mettre un peu de liquide dans son verre : il s'agissait d'un aphrodisiaque puissant que Joséphine s'était procuré auprès d'un sexologue qu'elle connaissait. Après le café, je vis dans son regard que l'effet commençait à se faire sentir. Effectivement, lorsque nous nous levâmes, je vis une grosse bosse déformer son pantalon. Comme il était très gêné, je fis mine de n'(avoir rien remarqué. Comme par hasard, je me heurtai à Joséphine en sortant de la pizzéria. « Ben alors, me dit-elle, quelle chance de te revoir. Cela fait au moins un an que je ne t'ai pas vue. » Nous nous mîmes à papoter tout en marchant et arrivâmes bientôt devant l'immeuble où se trouvait l'appartement ...
... de Philippe et Clotilde. « Heu, cela vous dérange si Joséphine monte un moment? Il y a si longtemps que je ne l'ai pas vue! » « Non, pas du tout », dit Philippe qui trouvait manifestement Joséphine encore plus à son goût que moi. Arrivés dans l'appartement, nous allâmes nous asseoir dans le canapé, tandis que Philippe allait chercher des verres et une bouteille à la cuisine. En bavardant autour d'un verre, Joséphine s'arrangea pour verser une deuxième dose de l'aphrodisiaque dans le verre de Philippe. Celui-ci avait manifestement de plus en plus chaud. Je fis un clin d'œil à Joséphine qui se rapprocha de moi et posa sa main sur ma cuisse. Puis elle approcha ses lèvres des miennes et m'embrassa. En même temps, sa main remontait sur ma cuisse, entrainant le tissu de la robe. Je n'avais pas mis de culotte. Du coin de l'œil, je vis que Philippe ne perdait pas une miette de notre manège et de la vue que je lui offrais sur mon sexe. Prétextant une envie urgente, j'abandonnai Joséphine et Philippe. En fait, je n'allai pas jusqu'aux toilettes, mais restai dans le couloir pour assister aux manœuvres de Joséphine. Celle-ci, qui portait comme toujours un pantalon et un t-shirt, eut tôt fait de faire glisser ce dernier par-dessus sa tête. Puis elle s'approcha de Philippe. Celui-ci, les yeux exorbités, resta sans réactions lorsqu'elle posa sa main sur la bosse qui déformait son pantalon. Elle se mit à l'embrasser tout en faisant glisser le zip du pantalon. Puis elle glissa sa main dans son ...