prof d'equitation - 1
Datte: 21/07/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... dit-elle en riant. Oh et ne fait pas cette tête, je ne vais pas te manger. Jean a refermé la porte presque à contrecœur. Il était partagé, ne sachant pas s’il devait se réjouir de revoir Sylvie, et chez lui qui plus est, ou s’il devait se mortifier de revoir devant lui, celle qui l’avait surpris entrain de se branler. Elle l’a tout de suite remit en confiance. - Ne te fais pas de soucis. Je ne suis pas fâchée, sauf sur le fait que tu te sois sauvé. En plus, je ne tienspas à te juger. Cela te gênes que je t’ai vu ? Jean n’a pas pu répondre à la question, et, rougissant jusqu’au bout des oreilles, il a baissé les yeux, ce qui en soit constituait une forme de réponse. - Je ne te juge pas et je ne pense rien de ce que j’ai vu. Pour moi tu es toujours le même. Je comprends que le spectacle que tu avais sous les yeux ait pu t’exciter à ce point. En aucun cas mon estime n’a baissé pour toi à lasuite de ce qui s’est passé, au contraire. Je viens te voir car je souhaite que tu reviennes aux cours. Tu comptesénormément pour moi, bien plus que je ne le pensais d’ailleurs. Ton absence pendant deux semaines m’a fait souffrir et les cours n’étaient plus les mêmes pour moi sans ta présence. Reviens, je t’en prie ! Cette longue tirade a laissé Jean sans voix. Il regardait Sylvie d’un air incrédule, tachant de comprendre tout ce que cela pouvait signifier. Il a finit par articuler - D’accord Sylvie, je veux bien revenir, si tu ne me juges pas. J’avais tellement honte ! - Il ne fallait pas, je ...
... t’apprécie trop pour te juger, et je ne veux pas te perdre. Alors je te dis à demain ? - Oui, d’accord. Mais que dire aux autres ? - Tu n’auras qu’à dire que tu as été malade, tout simplement. Et que j’étais au courant, car c’est ce que je leur ai déjà dit. - D’accord. Et encore merci Sylvie, merci d’être venue. - Ce n’est rien, c’était tout à fait normal. Elle a déposé un baiser sur sa joue, avant d’ouvrit la porte et de sortir précipitamment, se sauvant presque. Jean est resté interdit, figé dans le couloir. De l’autre côté de la porte, Sylvie n’était pas vraiment satisfaite de sa visite. Les évènements étaient sans doute allés trop vite pour lui, se dit elle. Il n’avait sans doute passaisit la portée de son message. Elle restait cependant déçue de leur rencontre, s’étant attendue à plus de réactivité.Elle espérait qu’il finirait par comprendre les sentiments qu’elle éprouvait pour lui. Le lendemain, Jean s’est présenté au cours comme il l’avait promis. A sa grande surprise, personne ne lui a poséde questions et tout s’est déroulé comme d’habitude. On pouvait croire qu’il ne s’était rien passé. Pourtant,après le cours, il a croisé Coralie, et le regard qu’elle lui a décoché était tellement chargé de questions, qu’il était évident qu’elle se doutait de quelque chose. Pendant qu’il s’occupait de son cheval, dans son box, Sylvieest venue le voir. - Jean, cela te dirait de faire un trotting demain matin avec moi, vers 7h00. J’ai deux chevaux à sortir,le mien plus un nouveau en ...