L'art du parler cru
Datte: 22/07/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... tenaient encore bien la route, comme il avait pu en juger sous la robe. Elle se débarrassa prestement de ses sandales et de son string et apparut dans sa nudité totale, somptueuse dans sa blancheur ivoirine et sa maturité épanouie. - Tu bandes comme un Turc ! rigola-t-elle. J'espère que tu vas tenir la distance. J'ai encore un gros appétit, tu sais ? Allez, déshabille-toi et couche-toi là. Frédéric s'exécuta. Nu sur le lit, son chibre pointait vers le plafond. Françoise s'allongea à côté de lui : - Quel beau corps tu as ! Et ta queue est superbe. Laisse-moi te caresser d'abord. Et ses mains parcoururent le corps de Frédéric avant de se fixer sur son pénis et de le masturber lentement. - ça te fait du bien ? Tu as envie de me baiser ? Caresse-moi la chatte, là, comme ça, doucement. Elle était déjà très humide, les pointes de ses seins étaient dures et Frédéric lâcha : - J'ai envie de te lécher. - Non, pas tout de suite, moi d'abord. Et elle engouffra à nouveau le pénis gloutonnement, à genoux entre ses cuisses afin qu'il pût bien voir le travail de sa bouche et de ses lèvres. Sur le côté de la chambre, une grande armoire avec miroir renvoyait l'image de son corps entier. Tout en le suçant, Françoise remuait les hanches comme si un pénis s'activait en elle. Et soudain, sans transition, elle stoppa sa fellation et vint s'empaler sur lui. - Ooooh que c'est bon ! Oooh que tu es dur ! Et d'onduler de la croupe, sans hâte mais en profondeur, en se léchant les lèvres et en jetant ...
... un oeil sur le miroir pour se regarder baiser. Frédéric observait alternativement ses yeux émeraudes luisant de désir, ses seins dressés, son ventre bombé en mouvement. Il se concentrait pour maîtriser son plaisir afin de le faire durer car à l'évidence, Françoise était partie pour jouer les prolongations. Elle aussi le regardait, passant du visage au torse qu'elle caressait tout en gémissant, laissant échapper quelques onomatopées et quelques crudités portant essentiellement sur le pénis de Frédéric. Après s'être imposée une série de vigoureuses pénétrations les pieds sur le matelas, elle se détacha haletante et vint déposer sa vulve trempée sur la bouche de son amant : - Allez, vas-y, lèche-moi maintenant. Le mufle fourré entre les cuisses dodues de sa maîtresse d'un soir, le nez sur l'abondante toison, Frédéric fit virevolter sa langue entre le déduit et le clitoris, ce qui entraina rapidement de nouveaux gémissements de la récipiendaire. - Que tu lèches bien ! Continue, continue ! La main de Françoise s'était glissée dans son dos à la recherche de sa queue et le branlait en même temps qu'elle se faisait lécher. Puis à nouveau, subitement, elle se détacha pour s'empaler, cette fois rejetée en arrière, si bien que Frédéric avait maintenant une vue imprenable sur les deux sexes joints et les seins de Françoise agités par ses coups de reins frénétiques. Cette alternance de pénétrations et de caresses diverses et variées commençait à lui porter sur le système. A l'évidence, ...