1. Retour à la Maison


    Datte: 07/10/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... baiser sur le front. Rapide baiser qui se transforma en retrouvailles pour nos langues et à sentir rapidement son corps à travers ses vêtements. Le manque d'intimité empêchait un quelconque contact de peau, mais ses cours finissant plus tôt demain après-midi je décidais d'aller la chercher au lycée en m'éclipsant de mes obligations professionnelles. .... L'attente était longue et à 15 h 30, un flot de lycéens m'apporta ma sœur. Après quelques centaines de mètres sur la route du retour et à la faveur d'un feu rouge, nous pouvions enfin nous embrasser à nouveau. Sa main restait sur ma cuisse à me mettre en condition pour un peu de temps seul avec elle. -On a dans les deux heures, elle tiendra le coup? -Ça dépend si tu as un peu ou beaucoup faim -Tu as de quoi en nourrir deux comme moi, je ne suis qu'une jeune fille fragile -Fais gaffe à tes petites fesses fragiles alors -On dit s'il te plaît. Passé la porte d'entrée, elle s'échappait de mes bras pour courir à sa chambre. Je la suivais et la trouvais à genoux sur son lit, à déboutonner son chemisier, impatiente du regard. Mes mains se glissaient sur sa peau dévoilée pour lui retirer son soutien gorge et libérer sa douce poitrine alors qu'elle dévorait ma bouche en me retirant ma chemise de travail. Je la basculais en arrière et retirais en un mouvement son jean ouvert et sa culotte, ses petites chaussettes restant ses seuls vêtements. Elle faisait de même sur moi et rapidement j'étais nu sur elle, mon sexe dur sur son pubis, ...
    ... ses grandes jambes autour de moi, une main dans mon dos. L'autre attrapa mon membre pointant mon gland contre son entrée humide le lubrifiant de ses jus intimes ; portant ses doigts sous mes testicules, elle m'invitait à la pénétrer. Doucement d'abord, mon gland pris place en elle, je portais mon poids sur mes bras en regardant au fond de ses yeux mi-clos. Un peu plus loin pour y passer quelques centimètres, je me retirais puis y retournais encore un peu plus loin. N'y tenant plus, mon dernier coup de rein fit rencontrer son pubis et le mien. Sa langue cherchait la mienne alors que je commençais un va et vient relativement doux, sentant son vagin encore étroit. Puis plus vite au rythme des sons dans sa gorge. Plus vite encore sentant ses ongles dans mon dos, me stimulant au possible. Trop vite, il fallait que je ralentisse. Toujours en elle, je me redressais pour admirer notre zone de contact sexuel, voir mon membre entrer et sortir du vagin de ma petite sœur, mon gland rester en elle, sembler voir son corps fin se dilater entre ses jambes ouvertes en grand. Mon regard remontant, j'admirais ce corps de femme auquel je n'avais jamais pensé faire l'amour, mes mains flattant ses seins et jouant avec ses tétons durcis. Elle se tenait sur ses coudes et dans sa souplesse érotique, son pied se porta à mon torse, d'abord pour y rester puis pour me repousser, sortant d'elle pour la première fois. Elle se tourna pour me montrer ses fesses, à quatre pattes face à moi, me remémorant le ...
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