Retour à la Maison
Datte: 07/10/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... alors que son souffle devenait plus insistant. J'attrapais ses cheveux en sentant ma fin proche, elle écartait ses fesses d'une main offrant son anus légèrement dilaté au régal de mes yeux. De voix étouffée dans l'oreiller, elle ne me demandait qu'une chose : -Dans mon cul, jouis dans mon cul. Je n'attendais que ça et mes derniers coups de bassins menaient mon membre lubrifié à empaler ses fesses, et très rapidement je déversais ma semence dans son orifice stérile. Des jets puissants et volumineux, je n'avais que rarement éjaculé aussi fort, la combinaison de la sodomie, du corps de ma sœur et de ses désirs sexuels, je m'allégeais le corps et l'esprit. ... J'aurais voulu son corps une nouvelle fois mais elle sortait de la douche quand nos parents sont rentrés, brisant l'atmosphère sexuelle où nous étions depuis plus d'une heure à jouir l'un de l'autre, l'un dans l'autre. Seul moment de tête à tête lors de ses révisions du soir dans sa chambre, mais pas assez d'intimité pour se mettre à nu autrement que par les mots. -Je crois que je n'ai pas été assez prudente et que tu as fouillé mes affaires, non? -Coupable, comment puis-je me faire pardonner? -J'ai bien ma petite idée mais j'ai des révisions devant moi -Et rien derrière je vois. Elle n'avait pas de culotte sous sa chemise de nuit, je mettais ses fesses blanches à nu, une tentation de plus. Je les caressais nonchalamment, faisant glisser mes doigts dans le creux de ses jambes, sentant la chaleur et la moiteur augmenter. Je ...
... n'omettais aucune zone de son anatomie féminine, mais elle me faisait comprendre qu'elle était encore sensible de son arrière train, serrant les fesses sur ma main à mon passage sur son anus. Doucement toujours, je l'excitais à lui en faire onduler le bassin mais jamais je ne l'autorisais à la laisser accéder à l'extase, tournant autour de son clitoris gonflé. Plusieurs fois elle tournait les pages en arrière, devant relire, ayant l'esprit ailleurs. Elle pressait son bassin contre le lit dans des tentatives désespérées de se faire jouir sans mon assentiment, je la punissais en glissant mes doigts lubrifiés contre son anus trop sensible. Finalement, sans un mot ni un regard, elle tendait sa main à sa table de chevet et en ressortait un court godemiché rose, pas de la forme traditionnelle d'un sexe d'homme mais plutôt anatomiquement moulé pour le maximum de plaisir. Passant derrière elle, elle en mouillait le bout contre son entrée humide, je l'aidais en maintenant une fesse écartée et profitant de la vision de cette jeune fille s'apprêtant à se donner du plaisir. J'avais du lui donner un maximum d'excitation pour qu'elle s'insère ce membre artificiel d'une seule traite, relâchant un souffle dans les draps, le front posé dans son livre. Jusqu'au bout de la longueur elle s'empalait, sur une courte course elle se masturbait ; elle le faisait glisser du bout des doigts. Un spectacle à la hauteur de mes attentes, et malgré la porte de sa chambre ouverte, j'ouvrais ma braguette pour ...