1. Justine : première leçon (1)


    Datte: 22/07/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... plaisir de me donner. Ses doigts s’attardent sur mes tétons, les roulent, les tirent. Je gémis de bonheur. — Tu aimes les caresses ? Je formule un oui à peine audible, d’une fois fêlée par la joie. Ses mains descendent sur mon ventre et vont palper mon cul, une main devant, une main derrière. L’index de la main droite trouve mes lèvres toutes gonflées et humides. À son contact, j’ai une légère contraction. — Tu aimes le sexe ? Un oui presque chuchoté. — Accroupis-toi, genoux écartés, mains derrière la nuque ! Je prends doucement la pose. Du dos de la main, il caresse l’intérieur de mes cuisses. Arrivé à la hauteur de mon sexe, son majeur caresse mes lèvres, descend le sillon de ma chatte, que je sens entrouverte, réceptive et trempée Son doigt n’a pas à forcer le passage. Il rentre en moi comme si j’avais été tartinée de vaseline. Je geins encore un peu. — Ne jouis pas tout de suite ! Nous allons voir si tu as bien retenu cette première leçon. Dans quelle position dois-tu être pendant les attentes ? — Mains derrière la tête, tête haute, et jambes écartées. — C’est bien, nous pouvons poursuivre. jbajggwl Il présente son majeur humide devant ma bouche. — Lèche, petite salope! Tu as une belle petite langue rose, souple et ferme… Tu aimes sucer des bites ? — … — Réponds ! — Oui…, j’adore sucer. — Raconte-moi ton dépucelage ! — À 15 ans, avec un garçon de mon âge, dans sa chambre. — Précoce dis donc, et c’était bien ? — ...
    ... Non trop rapide. Bien moins bon qu’aujourd’hui… — Tu aimes les longs préliminaires, ta chatte mouillée et tes tétons saillants le crient bien fort. Tu possèdes des jouets ? — Des jouets ? — Oui des godes... — Non, je n’ai jamais essayé. — Je vais combler cette lacune. — Mets-toi à genoux, cuisses écartées. Penches-toi en avant et poses les mains au-dessus de tes genoux… C’est parfait ! Tu es une bonne petite femelle jouisseuse… Cambres-toi bien, tu sens comme ton cul est bien exposé ? Une noix de lubrifiant sur la rondelle et il me montre un godemichet noir d’une bonne longueur et d’un diamètre très raisonnable. Il pousse lentement mais de plus en plus fort sur mon anus. Soudain, mes muscles lâchent et je sens le sexe de plastique remplir mon cul. Mon plaisir monte immédiatement très haut, très fort, très violent. Dans la savoureuse tempête, par-dessus mes couinements de bête prise entre les serres d’un aigle, mes râles de biche saillie bestialement, je l’entends me dire encore : — Je veux que tu t’habitues à t’offrir ainsi. Si je travaille ton cul comme ça aujourd’hui, ce n’est pas seulement pour ton plaisir, c’est pour qu’il accepte de recevoir assez facilement des queues. L’objectif est qu’il soit assez souple, mais pas béant. Ces mots crus et le coulissement facile du gode font soudainement monter une énorme vague de plaisir qui m’arrache de très longs cris. — C’est ça, oui, jouis petite garce… Tu es là pour ça ! 
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