1. COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (7/16)


    Datte: 27/06/2017, Catégories: Dans la zone rouge,

    Le pays est en effervescence depuis le début de la révolution dans notre région ou nos paysans considère que nous les nobles nous nous sommes accaparé le maximum des terres agricoles à notre profit et leur ont demandé un surcroît de taxes et charges supplémentaires. Cette fronde m’a obligé de fuir avec notre voisin le Duc amant de mère et qui va devenir le mien en me dépucelant dans une grange, il me laisse dans un couvent où je constate que la vie en groupe pour ces femmes est loin d’être idéale à cause des contraintes qui leur sont imposées. Si nos paysans ont du ressentiment envers la noblesse, c’est aussi le cas dans cette communauté de femmes où je finis par améliorer l’ambiance en m’opposant à sœur Isabelle rapporteuse auprès de la Prieure, elle-même bras droit de la mère supérieur. Comme hier au soir, alors que la cloche a sonné pour que nous rentrions dans nos cellules, nous montons dans le clocher où la situation semble stable autour de nous, les incendies de bâtiment étant stabilisés. Revenue dans ma cellule toujours accompagnée de sœur Agnès, je m’installe pour écouter sa vie depuis qu’elle est arrivée ici. • Comme je te l’ai dit, sœur Odette qui avait ma fonction s’est occupée de moi. Elle m’a rapidement prise sous sa coupe, car elle était seule, j’ignorais ce que deux femmes pouvaient faire entre elles et surtout quand j’ai juré fidélité envers notre seigneur, elle a réussi à me persuader que ce qui nous était interdit avec des hommes était sans importance entre ...
    ... femmes. Comme autour de moi de nombreuses sœurs avaient une amante, je l’ai cru et c’est avec un cierge bien plus long, mais moins gros que celui-ci qu’elle m’a dépucelé, dans son discours elle a réussi à me faire taire devant notre confesseur comme les autres le fond pour nos ébats amoureux les unes les autres. Si je t’ai posé la question sur ton propre dépucelage et que tu m’aies dit que tout c’était passé sans grande douleur, avec sœur Odette, j’ai eu mal pendant presque une semaine. La différence d’âge était énorme, mais c’était une si bonne amante que je suis resté avec elle jusqu’à ce qu’elle tombe malade et hélas se dirige dans les heures prochaines vers une issue définitive. Tu es arrivée et je crois que je t’ai fait découvrir les délices qu’une femme peut apporter à une autre. Nous roulons sur ma couche et une nouvelle fois nous nous faisons éclater principalement grâce à nos langues et au gros cierge qu’Agnès a cachés sous ma paillasse. Le lendemain, je m’arrange pour avoir des nouvelles de sœur Juliette ayant passé la nuit avec Isabelle avant d’aller à la prière, ce que sœur Juliette me dit me fait éclater de rire faisant se retourner la mère supérieure. • Blanche tout va bien, ce matin sœur Isabelle a été charmante, mais hier au soir, j’ignore pourquoi quand elle a été allongée sur le lit, elle s’est endormie immédiatement. D’où mon rire, car dans mon intervention pour décrisper la situation Agnès et moi avons complétement oublier les somnifères incorporés dans la ...
«1234»