Expatriés
Datte: 23/07/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
hbi,
hsoumis,
Oral
Partouze / Groupe
hsodo,
jouet,
confession,
... s’empresse de s’exécuter, trop heureux de se sentir encore dans la partie. Lise suivie d’Antoine, qui a eu la présence d’esprit de ramasser la robe et ses propres vêtements, se dirige vers la chambre. En chemin, elle entrevoit Abiou qui semble sidérée de cet équipage. La porte de la chambre est fermée. Elle ouvre. Son mari est en train de se déshabiller et le slip ne libère qu’un sexe flasque. — Tu ne vas pas t’en tirer comme cela. Je veux que tu voies où ton attitude me réduit. Marc ne dit rien. Il baisse les yeux. Immobile, il voit sa femme pousser Antoine sur le lit. Antoine dont l’érection a à peine diminué. Pendant le court trajet, ses yeux n’ont pas quitté les reins de Lise. — Approche. Viens voir ce qu’Antoine me propose. Elle est belle. Je vais me baiser avec. Il va me posséder. Lise s’étonne elle-même de ses propres paroles. Mais ce qui l’étonne aussi, c’est que son mari obéit et s’approche. Tous deux sont devant Antoine. — Suce-le. Prépare-le-moi. Si tu ne bandes pas, au moins fais que lui soit parfait pour ta femme. Lise ne se reconnaît plus. Pourtant tout s’enchaîne. Elle voit son mari s’agenouiller devant Antoine. Elle voit Marc se saisir délicatement de la verge de l’homme. Il s’en saisit entre deux doigts comme s’il avait peur. Elle regarde un instant les doigts s’étirer pour en faire le tour avec la paume. C’est maintenant la main qui enveloppe la hampe, tirant un peu plus sur la peau. — Suce-le, s’entend-elle dire. Et Marc le fait. Elle voit la tête de son ...
... mari se pencher. Elle-même fait un pas de côté pour mieux voir. Les lèvres closes ne font qu’effleurer le gland. Elle va le rappeler à l’ordre, mais les lèvres s’entrouvrent et enveloppent le bout rose. Il semble hésiter et pourtant il avance. Les lèvres progressent et puis s’arrêtent. Une bonne moitié de la queue noire a disparu dans la gorge de son mari. Lise est presque jalouse. Elle se prive de ce plaisir. Cela fait des années qu’elle ne connaît que la bite de son mari. Celle-ci est différente. La couleur bien sûr. La texture de la peau doit être particulière. La hampe, parcourue par une grosse veine, donne un aspect plus viril. Mais Marc semble se prendre au jeu. Il monte et descend sur la queue qui brille de salive. Lise est sidérée. Mais ce qui la surprend le plus, c’est ce qui se passe entre les cuisses de son mari. Il bande. Son sexe est dressé vers le haut. Elle n’en croit pas ses yeux. Elle s’agenouille à côté de son mari et se saisit de l’engin. Mais oui, elle ne rêve pas. Marc gronde de ce geste. Lise sourit en son for intérieur. On ne parle pas la bouche pleine. — Tu bandes, chéri. Tu bandes, lui susurre-t-elle au creux de l’oreille. Elle le caresse. Que c’est bon cette bite bien dure. Elle voudrait pouvoir se prendre avec. Oui, mais si, une fois en elle, cela recommence comme l’autre jour… Une idée germe dans son esprit. — Viens, dit-elle à son mari, allonge-toi… Antoine, fais le tour… Marc, plus loin… Elle se sent forte, puissante, maîtresse des deux hommes à ...