1. La vieille (2)


    Datte: 23/07/2020, Catégories: Hétéro

    Pendant la semaine qui suit, je rencontre Alain un ancien copain d’école de la même bande que défunt Lucien. Nous nous revoyons de temps en temps pour une petite bouffe. — Salut Alain tu vas bien ? — Très bien et toi Aurélien ? — Moi aussi, je t’offre un pot si tu as un peu de temps — Pas de problème j’ai juste un rendez-vous dans une heure Nous voilà attablés devant un demi de Corona. Nos discussions sont parties sur la politique et viennent rapidement sur l’actualité du harcèlement, bien remontés contre les féministes que nous qualifions de mal baisées. Toutefois, naturellement nous sommes d’accord sur les sanctions lourdes que doivent encourir les violeurs, agresseurs en tout genre, maris qui battent leurs femmes tout en nuançant comme le proverbe arabe : « bat ta femme, si tu ne sais pas pourquoi, elle elle le sait ». A la suite de la conversation, j’embraye sur ma rencontre avec Marie. Je raconte avec forces détails. — Une vieille de 80 ans ? elle doit être ridée comme une vieille peau ? — Je t’assure elle est vachement bien conservée et je te l’ai dit, c’est une vraie salope. J’aimerais bien te la présenter - Je ne suis pas contre, c’est une expérience à tenter - Tu veux que je l’appelle ? — Oui vas-y . — Allo Marie, bonjour c’est Adrien comment vas-tu ? — Tu veux passer me voir ? — Je suis avec Alain un ancien copain d’école, il faisait partie de notre bande, il a bien connu Lucien. J’aimerais te le présenter — Pourquoi pas, on pourrait évoquer les souvenirs ...
    ... d’enfance. Tu sais à par deux ou trois copines de quand j’étais au boulot et une un peu plus jeune de l’immeuble qui m’aide à faire mon ménage, j’ai n’ai pas trop souvent de visites. Mais je vous connais les hommes, vous papotez autant que les femmes. J’espère que n’as pas raconté notre rencontre de la semaine dernière. Si vous voulez, vous pouvez venir prendre le café cet après-midi vers 15h. — Ok. On y sera à tout à l’heure Marie, je t’embrasse A l’heure prévue nous sonnons à l’appart de Marie. Elle nous ouvre dans une tenue de ville classique : Corsage blanc légèrement transparent laissant deviner un soutien-gorge noir dilaté par son imposante poitrine. Jupe de tailleur mini, bas noirs sans chaussures. — Bonjour, entrez, mettez-vous à l’aise au salon, j’arrive avec le café et un petit pousse-café. Un vieil Armagnac qu’on m’a offert. Marie me fait la bise et serre la main d’Alain. — Alain je pense, puisque c’est comme cela que vous a annoncé Adrien - C’est cela. Vous êtes ravissante - Merci, vous êtes gentil, à mon âge on essaie de se maintenir Nous nous installons chacun dans un fauteuil, Marie revient avec un plateau, le café et les verres. Elle s’assoie sur le canapé en face de nous et une fois encore, nous gratifie d’une vue plongeante sur ses jambes, ses cuisses et le haut de ses bas. Alain n’en perd pas une miette et fixe obstinément son regard vers ce spectacle. Marie s’en aperçoit. — Alors Alain, Adrien souhaitait que nous évoquions le passé mais pour le présent, j’ai ...
«12»