1. De Hervé à Vanessa, chienne soumise (8)


    Datte: 24/07/2020, Catégories: Transexuels

    ... passage à Londres n’a servi à rien. Il faut donc que j’y retourne pour secouer le cocotier. J’en ai pour trois semaines. — T’es vilain. Lui lance Malika avant de partir dans son studio. Émile sourit, mais un sourire crispé. — Elle se calmera quand tu lui annonceras qu’après j’ai quatre semaines de vacances et que l’on partira dans ma résidence à Ibiza. Il me fit un clin d’œil et poursuit. — Tu seras des nôtres, c’est la première fois que j’y emmène un mec... Me dit-il en pouffant de rire. — Très drôle papa, très drôle. — Allez, il faut que j’aille dire au revoir à ma petite princesse. Il se lève et va dans l’appartement de Malika. On entend crier, pleurer, puis plus rien. — Méchant, salop.... Sont les derniers mots prononcés par la petite. Émile réapparait riant et pouffant tel un gamin content de sa bonne blague. Je me lève et me retourne. Je vais pour aider Dominique à débarrasser la table. — Non, laisse Vaness, je vais le faire... Va plutôt la réconforter. Émile me prend par le bras et m’entraine dans le couloir de sa villa. — Je te confis ce qu’il y a de plus chère à mes yeux, ma fille et Malika. Je sais que tu sauras parfaitement t’en occuper. Allez, embrasse-moi. Sans réfléchir, je me saisis de sa nuque et lui roule une pelle d’enfer. Nos salives se mélangent, nos langues se trouvent ...
    ... et jouent un balai sensuel. Cela dure un moment et quand le vieux se détache, une larme perle. Je lui prends délicatement les joues dans mes mains et la lui lèche. — Oh, Vanessa, vous allez me manquer... Allez, il faut que je file, le taxi attend depuis une demi-heure. Il passe sa veste, ramasse son attaché-case. Il me fait une bise sur le coin de mes lèvres, une tape sur mes fesses et s’en va. Le taxi démarre en trombe, c’était le taxi qui m’avait emmené à l’institut. Je cours vers ma dulcinée. J’arrive dans son salon, elle y est sur le divan, prostrée, les yeux rougis et le nez qui coule. — Ne t’inquiète pas ma chérie, il va revenir. Et puis il m’a confié un secret. — M’en fous ! Snif, snif... — Ibiza, ça ne te dit rien ? Son visage change du tout au tout. Elle me saute au cou et m’enserre la taille de ses fines guibolles. Je passe instinctivement mes mains sous ses fesses. — Ibiza, il t’a parlé d’Ibiza ? — Il se pourrait bien. — Allez !!! Dit-moi. Dit-elle en tambourinant mon torse. — Oui, du calme. Il a quatre semaines de vacances et va les passer avec nous à Ibiza. — Domi, Domi, on part à Ibizaaaaaa..... Hurle-t-elle en m’explosant mes tympans. Les trois semaines qui suivent ne sont que pur régal. Plage, repas, baise, re-plage et rebaisse. Mais pas avec Domi. Elle se réserve à son père. 
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