1. Le fantôme du château de Mortequeue


    Datte: 07/10/2017, Catégories: fh, couple, grossexe, bizarre, inconnu, amour, cérébral, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral fist, fsodo, jeu, fdanus,

    ... journée à en lire la notice et en faire l’installation. Le soir venu, elle éteindrait la lumière et attendrait que le spectre pointe le bout de sa queue. L’attente fut de courte durée. À peine une demi-heure après avoir quitté son époux, elle sentit à nouveau le drap se soulever et un corps se coller à elle tandis que des mains parcouraient chaque parcelle de sa peau. Elle sentait dans son dos ce sexe énorme, dur, gonflé, qui lui parut plus long et plus gros encore que la première fois. Les mains la guidèrent pour qu’elle se mette à quatre pattes, et peu après elle sentit un doigt gluant s’inviter sur son anus. Elle allait se rebeller, mais finalement trouva ceci plutôt agréable. Un deuxième doigt vint en renfort, puis un troisième. C’était bien plus qu’agréable. Différent de tout ce qu’elle avait connu jusqu’à présent, mais beaucoup plus excitant qu’elle ne l’avait imaginé. Quand les doigts se retirèrent, elle retint son souffle, imaginant le membre disproportionné qu’elle avait senti dans son dos tenter de s’y frayer un chemin. Contre toute attente, ce ne fut pas douloureux. Et ce qui la pénétrait ne semblait pas plus large que les trois doigts qu’elle avait sentis juste avant. Quant à la longueur, elle n’excédait certainement pas celle du sexe de Charles-Édouard. Une seule explication : ce fantôme avait une sorte de sexe « modulable » s’adaptant aux dimensions des orifices qu’il pénétrait. Quoiqu’il en soit, elle eut un orgasme époustouflant, frôlant de peu la syncope au ...
    ... moment fatidique. Tout son bassin semblait secoué de multiples spasmes. Une fois encore, quand elle reprit ses esprits, le fantôme avait disparu et il ne restait de lui qu’une substance gluante qu’il avait abandonnée entre ses fesses. Elle se précipita et sortit la caméra de sa cachette. ********** Elle retourna sur le lit et actionna le mode lecture. Elle passa en accéléré son attente et reprit la vitesse normale lorsqu’elle vit une ombre apparaître. La taille de l’écran et la perte de qualité due à la prise de vue nocturne ne permettaient pas de distinguer précisément cette ombre qui, de dos, avançait vers elle. S’il s’agissait d’un fantôme, il avait une consistance semblable à celle d’un humain. Lorsqu’il fut de profil, le choc qu’elle eut fut à la hauteur de la taille du membre démesuré qu’il arborait. Elle ne put contenir un cri de douleur rétroactif à l’idée que, peut-être, c’était bien cet engin diabolique qui lui avait exploré le fondement et que, par le truchement d’une dilatation savamment orchestrée, elle avait pu croire qu’il s’agissait d’un membre de taille plus conventionnelle. Malgré la qualité médiocre du film, les gémissements étouffés et les mouvements du drap lui rappelèrent le plaisir qu’elle venait d’avoir et, sans qu’il fût possible pour elle de lutter, sa main fut inexorablement attirée vers sa vulve frémissante. Elle se caressait tout en devinant, plus que regardant, le scénario de sa jouissance. Les mouvements de draps s’arrêtèrent. La Bérénice du film ...
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