1. MA COPINE DE JEU...


    Datte: 24/07/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    En ce mercredi matin, au lieu de me trouver à mes cours, je suis dans ma garçonnière. C’est-à-dire au sous-sol de mon bâtiment, dans un local déserté par son propriétaire et dont j’ai pris mes quartiers. L’aménageant de quelques vieux meubles que les locataires du bâtiment ont mis au rebus. Dont un vieux sommier en maille de fer où je suis allongé. Chevauchant un vieux traversin que ma mère avait mis au rebus et dont j‘ai récupéré. Que j’ai recouvert d’un collant pour être plus soyeux et que je me faisais un plaisir sans limite de chevaucher. À la recherche de fortes sensations. Mais ce matin là il était écrit que j’allais être surpris en flagrant délit par Véronique. Une jeune voisine tout fraîchement débarqué dans le quartier. Et que depuis quelques jours, j’étais devenu son centre d’intérêt. Jolie créature mais pas moins délurée. Encore hier, je me suis aperçu qu’elle a une manière particulière un peu appuyée de me regarder dans les yeux. J’ai feint de ne pas comprendre. Non par absence totale d’intérêt, mais parce qu’elle ne m’a pas paru assez passionnante pour que je m’embarrasse d’une aventure supplémentaire. Surtout qu’à cette époque j’avais deux liaisons très poussé avec des voisines mariée. Brigitte dans les 35 ans mariée à un chauffeur routier toujours en déplacement et mère de jumelles. Bernadette proche de la cinquantaine mariée elle-aussi et mère de trois enfants. Avec la première nous cultivions notre relation chez elle pendant l’absence de son mari. Alors ...
    ... qu’avec la seconde c’était un peu plus compliqué. Cela se faisait dans le cabanon de son jardin. Je couchais avec elles par intermittence. C’était une époque où je plaisais énormément aux dames matures. Avec mon visage au trait fin, très efféminée. Une taille étroite, aux larges épaules. Mais malheureusement c’était une semaine sans. Pour divers empêchements, aucune des deux ne pouvaient me consacrer du temps de baise. Véronique m’a observé, la tête un peu renversée en arrière, la nuque appuyée au chambranle. Son tee-shirt dessinait joliment la rondeur de ses seins. Du fait de sa présence je me suis frotté de plus belle contre le traversin. Alors que la coquine m’observait en riant. Les yeux brillant. Elle n’a pas pu s’empêcher de poser sa main à la jointure de ses cuisses. Se caressant à travers l‘étoffe de son pantalon. Les doigts tournaient imperceptiblement au niveau du clitoris alors que son visage s’est figé dans une expression tendue. Sa main a accéléré son mouvement. J’ai senti le plaisir m’envahir. Je n’ai pas pu empêcher mes yeux de se fermé tant le plaisir était intense. Alors que j’ai entendu du côté de l’entrée, un soupir. Quand j‘ai rouvert les yeux ce fus pour voir la bouche de Véronique s’approchait de la mienne. Un simple petit baiser. - Merci me fit-elle. Et elle quitta les lieux. Me laissant seul avec ma souillure à essuyer. Elle n’a pas attendu longtemps pour revenir me voir dans ma garçonnière. Seulement vingt quatre heures plus tard - Tu ne joues pas ...
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