Hélène (12)
Datte: 25/07/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... instants où mon seigneur prend le rôle du valet ou du serviteur pour me dorloter. Dans mon nuage, j’entends des petits pas. C’est Marianne, elle est dans un état pitoyable, ses fesses, ses cuisses, son ventre, ses seins sont quadrillés d’une résille rouge, certaines traces virent au jaune et au bleu sale. akxabbcr Les yeux sont marqués, son visage est barbouillé de son rimmel, son rouge a bavé, des mèches de cheveux dégueulent sur son visage …. Elle est seule, l’Autre ne s’occupe pas même d’elle. Il s’en fout. Je l’assois et je rince son visage. Sans la peigner, je rassemble sa chevelure en arrière avec un chouchou. Je fais un signe à mon amant, il me comprend sans un mot. Il prend le gel de douche et masse le dos de la malheureuse, De mon côté, je lui applique ma crème pour le visage, et la débarrasse des stigmates des sévices subis. J’emprunte le savon et je lui nettoie ses gros seins, puis je glisse sur le ventre. Pierre s’occupe du mollet, mais il s’arrête aux genoux, je prends sa main et je la fait remonter sur la cuisse de la pauvrette, il saisit le sens de mon geste et il poursuit son savonnage jusqu’à l’aine. Nous levons la suppliciée. Sans rien dire, nous nous partageons son cul, nous massons chacune une des fesses plantureuses. Un moment, nos mains se touchent dans la profonde raie de la belle. Friponne, j’appuie l’index de mon sultan sur le cratère, il s’enfonce dans l’œillet accueillant, Marianne laisse échapper un soupir. Nous retirons. Je finis de rincer la ...
... charmante, sa peau est douce, comme du satin. Je recule, c’est vrai, elle est grosse, elle est magnifique. Ses traits sont doux et agréables, elle est vraiment belle. Je vais pour l’embrasser sur la joue, mais elle tourne la tête, et happe mes lèvres, elle m’enlace du bras gauche et de sa main droite, elle pose mon index sur son bouton d’amour. Je la caresse, elle jouit très vite. Nous restons collées un instant sous le regard complice de Pierre. Un cri, un appel impérieux : - Marianne. Le salaud, il me la reprend. La belle me repousse à regret et se dirige vers la sortie. Arrivée à la porte, elle se retourne, trotte vers moi, un bras soutenant ses seins Elle me colle un baiser de cousine sur la joue et repart en trottinant, en me faisant un petit signe de la main. Puis mon gentil bonhomme m’emballe dans un peignoir éponge super moelleux. Nous passons récupère nos affaires. L’hôtesse du vestiaire est celle de la machine. - Vous partez déjà. - Nous sommes épuisés. Répond pour moi mon compagnon. - Oui, je m’en doute, la machine est très fatigante. Lui répond la jeune femme. - Madame, Puis je vous proposer une flute ? Continue-t-elle. Je la bois d’un trait. Puis nous regagnons notre voiture. Comme la dernière fois, Pierre abaisse le dossier du siège, et m’allonge. Pour compléter le tout, il me couvre de son grand manteau. Le champagne m’achève. Je sors de ma torpeur, il m’a mis au lit, il ajoute une couette, puis se glisse sous les draps. Je me pelotonne contre lui. - Mon seigneur ...